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Vivement l'Ecole!

art

EXPO - “ENGAGÉ.E.S ! Chanter pour des idées“, à découvrir au Printemps de Bourges

28 Avril 2022 , Rédigé par France Inter Publié dans #Musique, #Art

Cette exposition organisée dans le cadre du Printemps de Bourges est le fruit de la collaboration entre la Documentation de Radio France et la SACEM. Elle regroupe 200 pochettes d’albums, ainsi que de nombreux documents d’archives montrant la chanson "à message" française dans toutes ses formes.

Mettre son œuvre au service d’une cause politique, économique, sociale, humanitaire, écologique. Chanter, rapper pour dénoncer les abus et les injustices. Prendre position, interpeller, témoigner, alerter au moyen des mots et de la voix ; tel est le thème de l’exposition ENGAGÉ.E.S !, que la Documentation de Radio France vous invite à découvrir.

Miroirs de notre société et de ses soubresauts, nombreuses en France sont les chansons contestataires, ou chansons « engagées », qui depuis la Révolution de 1789 ont marqué de leur empreinte la mémoire collective : le Temps des cerises lors de la Commune de Paris en 1871, Le Chant des partisans, hymne de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, Le Déserteur de Boris Vian, chanson antimilitariste publiée à la fin de la guerre d’Indochine en 1954, Le Bruit et l’odeur de Zebda, devenu l’emblème de l’antiracisme en 1995, Ma France à moi de Diam’s qui revendique, à l’aube de la Présidentielle de 2007, une France de la diversité, tolérante et métissée. Depuis 2015, de jeunes porte-paroles s’élèvent autour des questions de genre – Eddy de Pretto et l’injonction à la « virilité abusive » dans son titre Kid (2017) – et de la libération de la parole des femmes – Angèle et le mouvement #MeToo dans Balance ton quoi (2019).

Combattants d’une vie ou simplement le temps d’une chanson, les artistes manifestent leur engagement de différentes manières. Mais si l’investissement varie, les chansons, elles, restent ; leur message prend vie, touche l’auditeur et pousse à la réflexion. Comme autant de débats agitant notre société, elles contribuent, à leur échelle, à faire vivre la liberté d’expression et la démocratie.

Liberté d'opinion et censure

La partition, la pochette et l'étiquette du vinyl du « Déserteur »

La partition, la pochette et l'étiquette du vinyl du « Déserteur » © Radio France / Musée SACEM

La censure était très présente dans les années 1950. Radio France et sa discothèque abritent les archives du comité d'écoute de la radiotélévision française. Ce comité a fiché les chansons jusqu'en 1964 et en fouillant dans cette base de données, on tombe parfois sur des surprises.

La censure, Boris Vian l'a connu de son vivant. Vous avez ci-dessus l’exemplaire de l’album de Boris Vian Chansons « possibles » et « impossibles » parut en 1956. C’est le seul album de l’artiste publié de son vivant, mais la quasi-totalité des titres furent censurées dès leur sortie. On peut voir qu’ici la pochette a été annotée et raturée par le comité. Les titres des chansons interdites sont rayés, la tête de Boris Vian gribouillée et l’étiquette « interdite par le comité d’écoute » y a été aposée.

(...)

Léocadie Couturier

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Sortir... "L'aventure Champollion" à la Bibliothèque Nationale de France...

26 Avril 2022 , Rédigé par BnF Publié dans #Histoire, #Art

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Sortir - Juifs et Musulmans, de la France coloniale à nos jours - Musée National de l'Histoire de l'immigration

6 Avril 2022 , Rédigé par Musée de l'Histoire d el'immigration Publié dans #Histoire, #Art

Les juifs dans le Coran

L’exposition Juifs et musulmans de la France coloniale à nos jours porte un regard neuf et documenté sur l’histoire des relations entre juifs et musulmans en France en révélant le rôle essentiel de la France et de l’État dans la transformation de ces relations, tant en Afrique du Nord qu’en France métropolitaine.

L’histoire des relations entre juifs et musulmans en France est mouvante, complexe et ancienne. Souvent réduite aux tensions actuelles et à l’image d’un conflit héréditaire entre deux groupes présentés comme des « frères ennemis », elle prend sa source dans l’espace colonial du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie) et se poursuit depuis les années 1960 en France métropolitaine. La France est aujourd’hui le pays qui compte les populations juives et musulmanes les plus importantes d’Europe.

L’exposition montre sur près de deux siècles comment les transformations résultant de la colonisation tendent parfois à rapprocher juifs et musulmans dans une même communauté de destins, tantôt au contraire à les séparer selon différentes lignes de fracture et à les déterminer à quitter leur terre natale. Ces départs, de gré ou de force, se font majoritairement vers la France où la vie intercommunautaire se recompose difficilement après la décolonisation. Malgré de nombreux points communs, la séparation se creuse en raison du malentendu historique sur la place de chacun dans la société française et du conflit israélo-palestinien. L’État français, par le jeu de la citoyenneté accordée ou non, par les dispositifs de reconnaissance officiels, a été partie prenante constante de cette histoire.

Réunissant plus de 100 œuvres d’art historiques et contemporaines, photographies, objets et de nombreux documents et archives, notamment audiovisuelles Juifs et musulmans de la France coloniale à nos jours explique comment et pourquoi plusieurs siècles de vie et d’histoire communes, d’imaginaire et de comportements communs se sont effacés en quelques décennies et quels possibles sont envisageables aujourd’hui, pour réinventer cette relation historique.

Le mini-site de l'exposition:

https://www.histoire-immigration.fr/juifs-et-musulmans-de-la-france-coloniale-a-nos-jours

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L’appel de 1 600 archéologues à Roselyne Bachelot : « Ne coupez pas les vivres à l’archéologie programmée ! »

20 Février 2022 , Rédigé par Le Monde Publié dans #Education, #Art, #Histoire

VIDEO. Rennes: Des archéologues débusquent des fioles de vin… et retracent  l'histoire de la mondialisation

EXTRAITS

Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs alerte sur la baisse brutale des subventions du ministère de la culture aux fouilles archéologiques. Asséchant un écosystème scientifique fragile, ces coupes pourraient conduire au déclassement de la discipline en France.

Tribune. L’archéologie est la science qui étudie les sociétés passées par le biais de leurs vestiges matériels. Avec l’histoire, elle est l’un des deux moyens fondamentaux d’acquérir des connaissances sur ces sociétés, et même le seul pour les – nombreux – peuples passés sans écriture. Elle permet d’appréhender les évolutions qui ont construit le monde actuel et sa genèse dans un temps long.

Encore visibles à la surface, enfouis dans le sol ou conservés sous l’eau, les vestiges archéologiques sont retrouvés et étudiés lors de campagnes de fouilles conduites par des chercheurs qualifiés, aux compétences reconnues, et dont tous les travaux sont contrôlés et validés par leurs pairs. Loin de l’image romanesque ou aventurière véhiculée par les fictions, l’archéologue est un scientifique, en général titulaire d’un master, souvent d’un doctorat, qui coordonne une équipe de recherche interdisciplinaire, multi-institutionnelle, souvent internationale.

En France, cette recherche est organisée en deux systèmes principaux, indissociables et complémentaires. L’archéologie préventive œuvre en amont des opérations d’aménagement du territoire, toute intervention sur le sol national étant susceptible d’entraîner la destruction des vestiges. Elle dispose de ses propres sources de financement. L’archéologie programmée rassemble des opérations réalisées à l’initiative d’équipes de recherche, en fonction de problématiques scientifiques précises, sur des sites non ou peu menacés, souvent dans des zones géographiques peu concernées par les opérations d’aménagement.

Fouilleurs bénévoles

Les opérations programmées sont majoritairement financées par le ministère de la culture, sous forme de subventions annuelles. Celles-ci restent modestes, et il n’est pas rare que la fouille d’un site s’étale alors sur une dizaine d’années ou plus. Bien que ne représentant qu’une part infime du budget du ministère, de l’ordre de 0,4 %, ce système de financement public national, rare à l’échelle mondiale et envié par beaucoup de nos collègues étrangers, permet d’organiser chaque année plusieurs centaines de chantiers qui produisent des connaissances inédites, de la préhistoire ancienne à l’époque moderne.

C’est donc avec surprise et consternation que nous avons appris que des baisses draconiennes de ces subventions allaient être appliquées dès cette année, de l’ordre de − 25 % à − 50 %, selon les régions, alors que dans le même temps le ministère annonce une hausse de 7,5 % de son budget global.

(...)

Cette décision est d’autant plus incompréhensible dans un contexte préélectoral où l’instrumentalisation et la manipulation politique de l’histoire atteignent des sommets rarement égalés jusqu’ici. Couper les vivres à ceux qui font du passé un objet d’étude scientifique, laisser donc le champ un peu plus libre aux imposteurs et aux falsificateurs, ne peut être un choix anodin.

Cela va également mettre en péril la formation des étudiants en archéologie, qui constituent l’essentiel des équipes de fouille et acquièrent là une part fondamentale de leurs compétences. En effet, si l’université dispense un savoir théorique essentiel, il est crucial que les étudiants soient aussi formés le mieux possible aux méthodes de terrain ; et c’est un domaine dans lequel la France fait partie des références mondiales, comme en témoigne le nombre d’étudiants d’universités étrangères régulièrement accueillis sur nos chantiers. Porter atteinte à cette activité, c’est préparer le déclassement de l’archéologie française.

(...)

A tous ces points de vue, une telle baisse du soutien du ministère de la culture aux fouilles archéologiques programmées est inacceptable et constituerait une très grave faute scientifique et patrimoniale. Nous vous demandons, madame la Ministre, de revenir sur cette décision que nous ne pouvons voir que comme inconsidérée et de rétablir le financement public de l’archéologie programmée à une hauteur au moins égale à ce qu’il était jusqu’à récemment, et n’aurait pas dû cesser d’être.

Thomas Perrin, directeur de recherche au CNRS, laboratoire TRACES, Toulouse (Haute-Garonne) ; Jean-Marc Pétillon, chargé de recherche au CNRS, laboratoire TRACES, Toulouse ; Ludovic Mevel, chargé de recherche au CNRS, laboratoire TEMPS, Nanterre (Hauts-de-Seine)

 

Voir la liste complète des signataires ici

L’appel de 1 600 archéologues à Roselyne Bachelot : « Ne coupez pas les vivres à l’archéologie programmée ! » (lemonde.fr)

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Comédie-Française : lancement des visioconférences pour les enseignants « Lire Molière aujourd’hui »

18 Février 2022 , Rédigé par Comédie Française Publié dans #Education, #Art

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"... l’évolution des méthodes d’apprentissage de l’art (...) Loin du moule contraignant de l’éducation classique.

18 Février 2022 , Rédigé par christophe Publié dans #Education, #Art

L'Art d'apprendre | Museums-PASS-Musées

Ecole buissonnière

A Metz, apprendre l’art du large

Au centre Pompidou-Metz, une exposition questionne l’évolution des méthodes d’apprentissage de l’art et explore les fertiles années 60 et 70 durant lesquelles un esprit libertaire et novateur animait les écoles. Loin du moule contraignant de l’éducation classique.

De loin en loin, sur les cimaises du centre Pompidou-Metz, s’affichent des images bigarrées où des gens, de tous âges, tirent tous ensemble et chacun de leur côté sur des filets élastiques, déambulent dans les rues, la tête coiffée d’un fatras de bouts de tissus, de lettres et de biscuits, se déguisent en sorcières ou construisent des cabanes avec des palettes de chantier et des bouts de ferrailles. L’extravagance bon enfant qui règne dans ces ateliers de création mis en place par des artistes reflète bien l’esprit libertaire et novateur que veut réanimer l’Art d’apprendre : celui qui souffla fort dans les écoles (d’art mais pas seulement) autour des années 60-70.

En Allemagne, en France, en Belgique, au Brésil, aux Etats-Unis, des artistes prennent l’initiative de casser le moule de l’éducation stricte et mortifère qui est dispensée à des élèves qu’on veut sages et immobiles. La révolution des apprentissages passe ainsi d’abord par la libération des corps et des mouvements du carcan du pupitre, représenté dans l’installation d’Eva Koťátková, sous forme d’une espèce de petit musée des tortures pédagogiques avec des gravures de têtes maintenues hautes et droites par des corsets, des dos redressés par des prothèses, et la panoplie de la raideur géométrique (équerre, triangle…). A laquelle s’opposent les lignes continues mais biscornues et tremblotantes tracées sur les murs d’une des premières salles de l’exposition.

Se relayant jour et nuit

Pour les tracer, les étudiants de l’Ecole d’art de Metz ont mis leurs pinceaux dans ceux de leurs aînés de l’Ecole de Hambourg qui, en 1959, ont appliqué le programme débridé que leur proposa le poète Bazon Brock et l’artiste Hundertwasser : peindre ensemble, en se relayant jour et nuit, une ligne qui serpente du sol au plafond de la salle 213 de leur institution pour filer ensuite à travers toute la ville. Elle n’ira pas si loin. Symbole d’un enseignement qui prend la tangente, mise en œuvre aussi d’«une lenteur méditative» qui tient du rituel initiatique collectif, la ligne sera interrompue nette par la direction de l’Ecole tandis que ses initiateurs prendront la porte.

Tout comme Joseph Beuys, viré des Beaux-arts de Düsseldorf pour avoir accepté sans sélection aucune tous les étudiants et étudiantes dans son atelier. Une vidéo le montre d’ailleurs installé devant l’une d’elles, perplexe et dubitative, face au maître qui tente de lui faire comprendre qu’il n’en est pas un, qu’il n’a rien à lui enseigner, rien qu’elle n’ait besoin de savoir ni de savoir-faire, que de se lancer, intuitivement, qu’il n’en sait au fond pas plus qu’elle.

«Ni élève ni maître»

La mise à plat, à bas, de la verticalité de l’enseignement, fut un des aiguillons de ces années-là. Robert Filliou, qui publia en 1970 une somme collaborative, intitulée Enseigner et apprendre, arts vivants résumait ainsi le programme : «Echange insouciant d’information et d’expérience. Ni élève ni maître. Parfaite licence, parfois parler, parfois se taire». Plutôt que de dispenser des leçons, les formations proposées par les artistes consistent alors à établir des listes de questions. Sans réponse. A commencer par celle que peint Lea Lublin, en 1974, sur une toile si interminable qu’elle en traîne au sol : «L’art est-il une illusion ? L’art est-il une sensation ? L’art est-il une marchandise ?…»

Non loin, l’exposition déroule une centaine d’autres interrogations scrupuleusement écrites à la main par Jef Geys, sur une feuille de papier kraft longue de six mètres que l’artiste et enseignant en primaire, dans la petite ville belge de Balen, avait accroché au fond de sa classe, où ses jeunes élèves eurent droit non seulement d’expérimenter ses Boîtes de jeux sensoriels dont un exemplaire ouvre l’exposition, mais aussi d’accueillir dans leur classe des œuvres d’artistes contemporains tels que Buren ou Broodthaers.

Comme elles s’en fichent

Ce qui frappe dans l’expo, c’est aussi la géographie de ces formations buissonnières : elles naissent souvent dans des coins paumés, à la faveur d’initiatives isolées. Comme s’il avait fallu passer par la périphérie pour avoir un peu de latitude pédagogique. L’éphémère université de Vincennes, accessible aux non-bacheliers et le premier département d’arts plastiques qu’elle abrite, trouvent ainsi leur place avec les affiches sérigraphiées qui défendent d’autres causes que celles de la condition étudiante. Les artistes, ou apprentis artistes, font passer le mot de l’agitation à laquelle ils ont été formés. Si l’art a bouleversé la hiérarchie instituée naguère entre le maître et l’élève, il doit contribuer à répandre la bonne nouvelle.

Et se mettre aux nouvelles technologies. C’est l’une des sections les plus captivantes de l’exposition. Comment ces artistes qui ne veulent plus rien savoir, se saisissent-ils, dans les années 70, de la caméra accessible au commun des mortels ? Cinq lycéennes, dans la fleur de l’âge, gloussent et s’expriment fort intelligemment sur leur avenir, celui que leur réserve le conseil de classe et la conseillère d’orientation. Ce sera broderie, couture ou aide maternelle. Face caméra, dans un jardin public, à la nuit tombée, leur gouaille et leur attitude, crânement nonchalante, disent, à l’écran, comme elles s’en fichent, qu’elles savent qu’on ne leur a guère laissé leur chance. En filmant ces mômes d’un collège d’enseignement technique de Vaux-le-Pénil, un village près de Melun, en 1972, Liliane Terrier, (leur prof de français) et Jean-Louis Boissier (prof à Vincennes, à l’époque) appliquent les leçons (de bon sens) mises en œuvre par Beuys ou Broodthaers : laisser parler l’élève, le laisser prendre tout le cadre. Le centre Pompidou-Metz ne pouvait guère faire autrement que d’appliquer à lui-même et à son exposition cette obligation. L’art d’apprendre se finit donc par «une salle de classe expérimentale» aménagée par le studio de design de Stéphanie Marin et où les enfants de quelques écoles de Metz, assis, debout, assis sur des chaises qui leur permettent de rebondir, feront ce qu’ils peuvent et veulent, accomplissant, peut-être sans le savoir, cet idéal pédagogique fixé par Filliou : «Ce que la vie signifie pour l’homme est l’opportunité (et l’obligation) de se créer soi-même.» Sans avoir besoin de personne ?

Judicaël Lavrador

«L’Art d’apprendre, une école des créateurs», au centre Pompidou Metz, à Metz (57) jusqu’au 29 août.

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Sortir... "Son œil dans ma main. Algérie 1961-2019" - Institut du Monde Arabe

14 Février 2022 , Rédigé par christophe Publié dans #Art, #Histoire

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Sortir... « Marcel Proust, un roman parisien » - Musée Carnavalet/Paris

18 Décembre 2021 , Rédigé par christophe Publié dans #Art, #Littérature

Le musée Carnavalet – Histoire de Paris commémore le 150e anniversaire de la naissance de Marcel Proust (1871-1922).

Consacrée aux rapports de Marcel Proust à Paris, où se déroule l’essentiel de son existence, l’exposition Marcel Proust, un roman parisien interroge pour la première fois la place de la ville dans le roman proustien.

La première partie de l’exposition explore l’univers parisien de Marcel Proust. Né et mort à Paris, la vie de l’écrivain s’est déroulée au coeur d’un espace fort restreint, un quadrilatère allant du Parc Monceau à la place de la Concorde, de la Concorde à Auteuil, d’Auteuil au Bois de Boulogne et à l’Étoile.

Paris a une dimension décisive dans l’éveil de la vocation littéraire de Marcel Proust, depuis ses premiers textes à la fin des années 1890 avec ses condisciples du Lycée Condorcet, jusqu’à ses débuts dans la haute société parisienne et la rencontre de personnalités déterminantes.

(...)

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Sortir... Exposition Vivian Maier, Musée du Luxembourg

26 Novembre 2021 , Rédigé par Musée du Luxembourg Publié dans #Art, #Culture

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Sortir... "Arts de l'Islam, un passé pour un présent" - Dans 18 villes françaises...

19 Novembre 2021 , Rédigé par Youtube Publié dans #Art

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