art
Sortir... Pastels, de Millet à Redon / Musée d'Orsay jusqu'au 2 juillet
Le musée d’Orsay expose ce printemps 2023 une centaine des pastels de sa collection, riche d’environ 500 œuvres. La dernière exposition de cette ampleur consacrée aux pastels du musée, « Le Mystère et l’éclat », date déjà de 2009. Cette nouvelle présentation permettra au public de découvrir ou de redécouvrir ces joyaux de la collection où brillent les œuvres de Millet, Degas, Manet, Cassatt, Redon, Lévy-Dhurmer et bien d’autres.
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Discours de Justine Triet à Cannes : la palme d’or d’une main, un uppercut à la réforme des retraites de l’autre
Le Festival s’est ouvert sous la menace d’une coupure de courant de la CGT mais c’est finalement la réalisatrice d’«Anatomie d’une chute» qui a électrisé la cérémonie et «estomaqué» la ministre la Culture en attaquant la politique du gouvernement français sur la culture et les retraites.
Dans Anatomie d’une chute, Justine Triet imagine le procès de son héroïne. Au moment de recevoir la palme d’or de la 76e édition du Festival de Cannes, la réalisatrice a fait un autre procès : celui du gouvernement français et de la réforme des retraites d’Emmanuel Macron.
Celle à qui l’on doit Victoria et Sibyl a commencé par remercier toutes ses équipes et le jury ce samedi soir, avant de se lancer dans un discours engagé. «Le pays a été traversé par une protestation historique extrêmement puissante et unanime de la réforme des retraites», a-t-elle déclaré avant de regretter que le mouvement ait été «nié de façon choquante». Justine Triet a ainsi dénoncé les répressions contre la mobilisation.
La troisième réalisatrice à recevoir la palme de l’histoire du festival (à 44 ans elle succède à Jane Campion pour la Leçon de piano en 1993 et à Julia Ducournau pour Titane en 2021) a également pointé du doigt la «marchandisation de la culture que le gouvernement néolibéral défend» et qui est en train «de casser l’exception culturelle sans laquelle [elle] ne serait pas là aujourd’hui». «Ce schéma de pouvoir dominateur, de plus en plus décomplexé, éclate dans plusieurs domaines», a fait remarquer la cinéaste. D’abord socialement - «c’est là où c’est le plus choquant», dit-elle, mais aussi dans «toutes les autres sphères de la société, et le cinéma n’y échappe pas.»
La ministre «estomaquée»
La ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, s’est dite «estomaquée» par le discours «injuste» de la Française.
«Heureuse de voir la palme d’or décernée à Justine Triet, la dixième pour la France ! Mais estomaquée par son discours si injuste. Ce film n’aurait pu voir le jour sans notre modèle français de financement du cinéma qui permet une diversité unique au monde. Ne l’oublions pas», a-t-elle écrit sur Twitter.
Dans Anatomie d’une chute, Justine Triet imagine le procès d’une femme (Sandra Hüller) accusée de l’homicide de son mari, dans un film passionnant et limpide qui avait remporté la palme des critiques de Libération. Son long métrage est attendu dans les salles françaises le 23 août.
Libération
Sortir... BASQUIAT SOUNDTRACKS du 6 avril au 30 juillet 2023 - Philharmonie de Paris
EXTRAIT
La Philharmonie de Paris organise la première exposition consacrée à la relation puissante de Jean-Michel Basquiat à la musique. Donnant à entendre autant qu’à voir, Basquiat Soundtracks s’offre comme la bande-son héroïque, multiple et foisonnante d’une œuvre fulgurante, pour laquelle la musique se révèle une clé d’interprétation essentielle – de Beethoven à Madonna, du zydeco à John Cage, de Louis Armstrong à la Zulu Nation.
DÉFERLANTES NO WAVE ET HIP-HOP
Émergeant parmi la communauté artistique du New York de la fin des années 1970, où la pluridisciplinarité est de mise, le talent de Jean-Michel Basquiat se révèle à la confluence de deux vagues musicales majeures : la no wave et le hip-hop. Poète, styliste, sculpteur et surtout musicien avant même d’être peintre, Basquiat est le leader officieux du groupe Gray qui partage la scène avec des formations phares de la no wave, tels DNA ou The Lounge Lizards. Ses premiers pas créatifs se font dans les clubs downtown qui servent de repaire à une génération d’artistes marquée par le punk qui, entre performance et expérimentation, cherche à repenser ses pratiques et ramener l’art à la vie. Simultanément, Basquiat subit de plein fouet la déferlante du hip-hop, révolution culturelle qui développe uptown ses propres codes et manières de faire, tant sur le plan de la musique que sur celui de la danse et des arts visuels. Il s’investit dans la communauté des artistes qu’il fédère au point de produire un single de rap intitulé Beat Bop (1983), mettant en vedette un pionnier du genre : Rammellzee.
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Conçue en collaboration avec le Musée des beaux-arts de Montréal, cette exposition propose un regard neuf sur les créations du peintre américain, pour qui la musique a été un fil rouge relia...
https://philharmoniedeparis.fr/fr/activite/exposition/24617-basquiat-soundtracks
A l'école du théâtre...
Qu’apprend la pratique du théâtre aux jeunes, à travers l'expérimentation du jeu, de la dramaturgie, ou encore de la critique ? Et quelle place pour le théâtre à l'école ?
Avec
Eric Ruf Comédien, metteur en scène et scénographe, sociétaire honoraire et administrateur général de la Comédie Française
Loïc Vidal Enseignant de l'option Théâtre au lycée (Académie de Créteil)
Marine Jubin Responsable du service éducatif de la Comédie Française
Julie Marty Ancien membre du Jeune Bureau de la Comédie-Française, fondatrice de la compagnie Le Collectif du Grand Douze
"Ce que le théâtre m’a apporté : j’ai pu quitter un petit monde étroit et réglé pour en rejoindre un autre, inépuisable et multiple, celui qui brasse la littérature, la poésie, la politique et l’histoire. C’est ce théâtre-là que nous nous attelons, chaque jour, à transmettre aux publics jeunes". C’est le directeur de la Comédie Française, Eric Ruf, invité de Louise Tourret dans cette émission, qui a écrit ces mots qui disent le pouvoir du théâtre comme éducation pour l’individu.
Dans cet épisode d’Etre et Savoir il s'agira de s'interroger sur pourquoi et comment rendre la pratique du théâtre accessible aux enfants et adolescents de tous les horizons sociaux et culturels. Il sera notamment question du Jeune Bureau, créé dans la maison de Molière, et qui offre une proposition originale dans le domaine. Mais également de la place du théâtre à l’école : de l’interprétation, de la lecture, de l’écriture et de la formation de l’esprit critique et des questions pédagogiques qu’il soulève, sans oublier ses aspects moins scolaires, à savoir le souffle de l’imagination et la fantaisie qui viennent avec le jeu.
Louise Tourret s'entretient avec ses invités : Loïc Vidal, enseignant de l'option facultative et de la spécialité Théâtre au lycée Paul Eluard en Seine Saint-Denis (Académie de Créteil), Marine Jubin, responsable du service éducatif de la Comédie Française, Eric Ruf, comédien, metteur en scène et scénographe, sociétaire honoraire et administrateur général de la Comédie Française, Julie Marty, ancien membre du Jeune Bureau de la Comédie-Française, fondatrice de la compagnie Le Collectif du Grand Douze pour laquelle elle est en charge des actions culturelles.
Avec également Daphkarny Ulysse, lycéenne en terminale spécialité théâtre au lycée Paul Eluard.
La citation
"Le théâtre est une matière qui inverse les hiérarchie : très souvent le dernier de la classe, qui ne sait pas quoi faire de son énergie, de ce qui est pris pour de l'insolence, de sa qualité d'imaginaire débordante, cette matière-là fait qu'il arrive à l'exprimer et ça devient de l'or, c'est respecté, c'est considéré. Dans un établissement ça laisse une possibilité assez exceptionnelle aux uns et aux autres, et il n'y a pas beaucoup de matière qui soit faite d'une telle maïeutique. On ne dit pas assez à l'école, or le théâtre n'est fait que de ça, que les défauts peuvent être des qualités. Quand on arrive à faire comprendre ça à des jeunes gens, ça peut être une ouverture extraordinaire", Eric Ruf
Illustrations sonores
interview de Jean-Louis Barrault pour TF1 (archive INA,1981)
"Comme au théâtre", Cora Vaucaire (1976)
Louise Tourret
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"Ce que le théâtre m'a apporté : j'ai pu quitter un petit monde étroit et réglé pour en rejoindre un autre, inépuisable et multiple, celui qui brasse la littérature, la poésie, la politiqu...
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Les mots dans l'art...
Parmi les artistes qui utilisent le langage, il y a ceux qui écrivent dans leur œuvre, c’est-à-dire qu’ils intègrent mots, phrases, lettres ou récits à une pratique plastique que ce soit de la peinture, de la gravure, de la sculpture, du dessin, de l’installation…
Avec
Laurence Cathala artiste plasticienne
Federica Chiocchetti Conservatrice, autrice, éditrice, conférencière spécialisée dans la photographie et la littérature, historique et contemporaine, commissaire d’exposition et directrice du Musée des beaux-arts Le Locle (Suisse).
Marco Godinho Artiste voyageur.
On y voit des mots, on y lit des phrases, on y décèle une information. Pensons aux insertions cubistes de fragments de journal, de textes collés (Picasso et Braque), aux mots peints associés/dissociés à des images dans l’espace même du tableau dans le mouvement Dada, aux images publicitaires détournées (Marcel Duchamp), aux poème-affiches (Raoul Hausmann), aux créations typographiques des constructivistes russes…
Il s'agit pour toutes ces œuvres et tous ces artistes de renversement des rapports usuels normés entre mots et images, et de multiples possibles narratifs, poétiques ou critiques qui découlent de ces rapports. D'autres modalités de dialogue se manifestent dans une remise en jeu permanente du textuel et du visuel, du dicible et du visible. Dans l’espace moderne, les mots sont partout et l’art se les approprie à la fois pour être au plus près du réel. L'usage du mot dans l'art a-t-il évolué dans l'histoire ? Et comment penser cet usage actuel du mot dans l'art ?
Federica Chiocchetti "C'est assez intéressant quand on parle de relation mots/images. Il y a toujours une espèce de guerre entre les iconophobes et les logophobes."
Pour aborder cette notion de mots dans l'art, ce qui caractérise leur démarche d'artiste autrice, la prégnance de l'écriture, du livre, des mots, Sally Bonn, Maître de conférence en esthétique à l’Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d’art et commissaire d’exposition, productrice de la série "L'Art est l'écriture", reçoit, pour ce deuxième épisode, Laurence Cathala, artiste plasticienne et enseignante, Federica Chiocchetti, conservatrice, autrice, éditrice, conférencière spécialisée dans la photographie et la littérature, historique et contemporaine, commissaire d’exposition et directrice du Musée des beaux-arts Le Locle (Suisse), et Marco Godinho, artiste voyageur.
Federica Chiocchetti "Les mots dans l'art, c'est quelque chose qui n'est pas nouveau. Si on réfléchit, même dans l'Annonciation de Cortone de Fra Angelico, il y a des mots dans la peinture : toutes les fonctions sont envisageables et possibles, et même plusieurs fonctions dans la même œuvre."
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Les mots dans l'art : épisode 2/4 du podcast L'Art est l'écriture
On y voit des mots, on y lit des phrases, on y décèle une information. Pensons aux insertions cubistes de fragments de journal, de textes collés ( Picasso et Braque), aux mots peints ...
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A Philadelphie, François Chastanet documente l’écriture urbaine
Rencontre avec François Chastanet dans le cadre de sa résidence à la Villa Albertine et de son projet de documentaire sur les tags de Philadelphie, fleuron calligraphique méconnu de l’histoire du graffiti américain.
Affaire à Suivre vous propose chaque jour des nouvelles du secteur culturel en régions et à l’international grâce à nos correspondants à l’étranger et à celles et ceux qui créent la vie culturelle à l’endroit où ils sont.
Et chaque vendredi, nous prenons la direction des Etats-Unis à la rencontre des artistes en résidence à la Villa Albertine.
Aujourd’hui, Marie Sorbier s’entretient avec François Chastanet, designer graphique, dessinateur de caractères, auteur documentaire et co-fondateur du studio Typo Morpho. Son travail explore en particulier les signes écrits dans l’espace public, de la signalétique institutionnelle aux pratiques manuscrites éphémères. Il mène actuellement une recherche sur l’évolution des formes de l’alphabet latin à travers six études de cas de graffiti en Amérique du Nord et du Sud (Los Angeles, New York et Philadelphie aux États-Unis, São Paulo au Brésil, Tijuana et Monterrey au Mexique). Au cours de sa résidence, il développera un projet documentaire croisant photographie, relevés dessinés et création typographique sur les signatures urbaines de Philadelphie, joyau calligraphique méconnu de l’histoire du graffiti américain.
"Ma démarche consiste à étudier les «tags» d'un point de vue formel, comme autant d'écoles calligraphiques géographiquement ancrées : replacer l’art de la signature urbaine dans la longue histoire des formes de l’alphabet latin et identifier des graphies métropolitaines spécifiques. Nous devons en effet reconnaître que différentes traditions d’écriture-signature coexistent, avec leurs propres outils, styles et méthodologies : le graffiti des noms comme design contextuel questionnant les infrastructures et cultures urbaines locales."
Plus d’informations : Page François Chastanet – Villa Albertine
François Chastanet participera à la conférence "Name Name Writing in Public Space" le dimanche 14 mai 2023 à Brooklyn / Sunset Park / Industry City (en partenariat avec la Villa Albertine) ainsi qu'à la session européenne de ce même colloque du 29 juin au 1er juillet à Hambourg
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A Philadelphie, François Chastanet documente l'écriture urbaine
Rencontre avec François Chastanet dans le cadre de sa résidence à la Villa Albertine et de son projet de documentaire sur les tags de Philadelphie, fleuron calligraphique méconnu de l'histoire ...
Sortir... "Manet/Degas" - Musée d'Orsay/Paris jusqu'au 23 juillet
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Manet - Degas : le tableau de la discorde
Le musée d'Orsay réunit et confronte deux artistes essentiels des années 1860/1880 : Manet et Degas. Une relation complexe, qui soulève aujourd'hui encore de nombreuses questions. Emulation ...
https://www.radiofrance.fr/franceinter/manet-degas-le-tableau-de-la-discorde
Sortir... Musée d'Orsay/Paris... «Pastels, de Millet à Redon» jusqu’au 2 juillet.
Le musée d’Orsay expose ce printemps 2023 une centaine des pastels de sa collection, riche d’environ 500 œuvres. La dernière exposition de cette ampleur consacrée aux pastels du musée, « Le Mystère et l’éclat », date déjà de 2009. Cette nouvelle présentation permettra au public de découvrir ou de redécouvrir ces joyaux de la collection où brillent les œuvres de Millet, Degas, Manet, Cassatt, Redon, Lévy-Dhurmer et bien d’autres.
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Exposition Pastels, de Millet à Redon | Musée d'Orsay
Le musée d'Orsay expose ce printemps 2023 une centaine des pastels de sa collection, riche d'environ 500 œuvres. La dernière exposition de cette ampleur consacrée aux pastels du musée, " Le My...
https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/pastels-de-millet-redon
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"Pastels" au musée d'Orsay met du pigment dans nos vies
Deux petits yeux noirs se cachent derrière un splendide bouquet. Marguerite, la fille du peintre Jean-François Millet, nous regarde, le visage fourré dans les corolles d'une lumineuse gerbe de ...
Sortir... Exposition "Elliott Erwitt" / Musée Maillol - Paris
Santa Monica, California (USA 1955) © Elliott Erwitt
L’exposition Elliott Erwitt. Une rétrospective rend hommage à l’un des photographes les plus importants du XXème siècle, membre de Magnum Photos depuis 1954.
Le parcours présente son œuvre à travers un ensemble de 215 photographies en noir et blanc et en couleur.
Photographe américain d’origine européenne, Elliott Erwitt est à la fois un peintre de l’intime, photojournaliste, photographe publicitaire, réalisateur et portraitiste de personnalités comme Marilyn Monroe ou encore Jackie Kennedy, Charles de Gaulle, Ernesto “Che” Guevara, Alfred Hitchcock, Nikita Khrouchtchev,…
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Exposition "Elliott Erwitt" | Musée Maillol
L'exposition Elliott Erwitt. Une rétrospective rend hommage à l'un des photographes les plus importants du XXème siècle, membre de Magnum Photos depuis 1954. Le parcours présente son œuvre à...
Sortir... « Matisse. Cahiers d’art, le tournant des années 30 » - Musée de l'Orangerie
De la couleur, vive, de préférence. C’est la signature Matisse, l’un des plus grands peintres du XXe siècle. Une exposition au musée de l’Orangerie à Paris, met en lumière son travail durant les années 30. Un tournant dans l’œuvre de l’artiste, qui se rendit à Tahiti et y trouva une nouvelle source d’inspiration.
À l’orée du printemps, Henri Matisse s’installe dans le jardin des Tuileries, au musée de l’Orangerie. L’exposition porte sur une période charnière de sa vie, les années 30. Matisse est déjà un peintre reconnu, mais à l’approche de la soixantaine, il traverse une crise d’inspiration. Son anxiété transparaît sur ce célèbre tableau venu de New York, Femme à la voilette. Pour trouver de nouvelles sources d’inspiration, Matisse voyage, notamment à New York, et à Tahiti.
Matisse documente son travail
Il éprouve le besoin de se réinventer en expérimentant de nouvelles techniques. Le grand nu rose, venu de Baltimore, est une toile de 1935, emblématique de ses recherches. Jaune, bleu, rose, ces couleurs pures, presque acides, en font pratiquement un tableau abstrait. Matisse fait photographier les étapes décisives de sa composition. Il documente son travail, de sa première idée à la version finale du tableau, très épuré. Il fera de même avec La Blouse roumaine, l’une de ses toiles iconiques. L’exposition met en lumière le talent d’un peintre, qui jusqu’à sa mort en 1954, ne s’est jamais reposé sur ses lauriers.
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Expo Matisse au Musée de l'Orangerie | Réservation de Billet | Expo Paris 2023
Un peintre moderne, sujet-phare d'une revue célèbre des années 30, sur le devant la scène à travers une exposition exceptionnelle. L'exposition " Matisse. Cahiers d'art, le tournant des année...