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Vivement l'Ecole!

art

Sortir... Ken Domon - Le maître du réalisme japonais - Maison de la culture du Japon à Paris - Jusqu'au 13 juillet

10 Juin 2023 , Rédigé par Télérama Publié dans #Art

Cette exposition est la première en France consacrée à l’une des figures les plus marquantes de l’histoire de la photographie japonaise : Ken Domon (1909-1990). Elle réunit une centaine d’images de ce pionnier de la photographie réaliste, produites entre les années 1930 et 1970. Les multiples facettes de son travail sont ici révélées : son approche du photojournalisme au début de sa carrière, l’inévitable tournant vers la photographie de propagande dans les années 1930, son témoignage bouleversant sur Hiroshima, ses touchants portraits d’enfants des rues et de célébrités, enfin sa fascination pour les anciens temples et la sculpture bouddhique.

L’œuvre de Ken Domon a marqué l’histoire de la photographie au Japon en posant les bases de la création photographique contemporaine, et constitue, aujourd’hui encore, une référence incontournable. Domon a cherché toute sa vie à obtenir les images les plus réalistes qui soient, sans verser dans un quelconque misérabilisme. Ce réalisme est le fil conducteur de cette exposition qui retrace l’ambitieux parcours emprunté par Domon pour saisir la culture japonaise dans son ensemble. Elle donne notamment à découvrir les deux reportages qui traduisent le plus nettement le réalisme social caractéristique de son travail : Hiroshima (1958), considéré par le prix Nobel Kenzaburô Ôe comme la  première œuvre d'art contemporain inspirée par la bombe atomique qui traite des vivants et non des morts, et Les Enfants de Chikuhô (1960), une série qui témoigne de la pauvreté qui ronge les villages miniers du sud du pays, en se focalisant sur la vie des enfants. 

La  série Portraits, que Domon a poursuivi sans relâche de 1936 à 1953, révèle aux regardeurs les visages de personnalités dans différents domaines - artistique, littéraire, culturel ou scientifique -, comme les écrivains Mishima et Tanizaki, les artistes Foujita, Tarô Okamoto et Yûsaku Kamekura, le réalisateur Yasujirô Ozu ou encore l’acteur Toshirô Mifune. 

La dernière partie de l’exposition est quant à elle consacrée à la série photographique la plus longue de Domon, Pèlerinage aux temples anciens, un recueil d’images de statues et d’architecture bouddhiques, de trésors cachés et de paysages discrets, immortalisés au cours de voyages à travers le pays, de 1939 jusqu’à sa mort, alors qu’il cherchait à capter la beauté des lieux sacrés des temps anciens. Ce précieux témoignage rend compte aussi bien des progrès que fait la technique photographique durant ces années-là, avec le passage à la pellicule couleur en 1958 par exemple, que des contraintes que la mauvaise santé du photographe lui impose dans son travail.

Pour en savoir plus, cliquer ci-dessous

 

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Sortir... "Naples à Paris" - Louvre Paris du 7 juin au 8 janvier 2024... Sublime !

7 Juin 2023 , Rédigé par Louvre Paris Publié dans #Art, #Education, #Histoire

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Sortir... Pastels, de Millet à Redon / Musée d'Orsay jusqu'au 2 juillet

2 Juin 2023 , Rédigé par Musée d'Orsay Publié dans #Art

Le musée d’Orsay expose ce printemps 2023 une centaine des pastels de sa collection, riche d’environ 500 œuvres. La dernière exposition de cette ampleur consacrée aux pastels du musée, « Le Mystère et l’éclat », date déjà de 2009. Cette nouvelle présentation permettra au public de découvrir ou de redécouvrir ces joyaux de la collection où brillent les œuvres de Millet, Degas, Manet, Cassatt, Redon, Lévy-Dhurmer et bien d’autres.

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Discours de Justine Triet à Cannes : la palme d’or d’une main, un uppercut à la réforme des retraites de l’autre

27 Mai 2023 , Rédigé par Libération Publié dans #Cinéma, #Art, #Politique

https://www.francetvinfo.fr/pictures/EaiTJv4VBXiLRjrZD5RlcssHPcs/752x423/2023/05/27/64726250ad3a2_000-33ge7ar.jpg

Le Festival s’est ouvert sous la menace d’une coupure de courant de la CGT mais c’est finalement la réalisatrice d’«Anatomie d’une chute» qui a électrisé la cérémonie et «estomaqué» la ministre la Culture en attaquant la politique du gouvernement français sur la culture et les retraites.

Dans Anatomie d’une chute, Justine Triet imagine le procès de son héroïne. Au moment de recevoir la palme d’or de la 76e édition du Festival de Cannes, la réalisatrice a fait un autre procès : celui du gouvernement français et de la réforme des retraites d’Emmanuel Macron.

Celle à qui l’on doit Victoria et Sibyl a commencé par remercier toutes ses équipes et le jury ce samedi soir, avant de se lancer dans un discours engagé. «Le pays a été traversé par une protestation historique extrêmement puissante et unanime de la réforme des retraites», a-t-elle déclaré avant de regretter que le mouvement ait été «nié de façon choquante». Justine Triet a ainsi dénoncé les répressions contre la mobilisation.

La troisième réalisatrice à recevoir la palme de l’histoire du festival (à 44 ans elle succède à Jane Campion pour la Leçon de piano en 1993 et à Julia Ducournau pour Titane en 2021) a également pointé du doigt la «marchandisation de la culture que le gouvernement néolibéral défend» et qui est en train «de casser l’exception culturelle sans laquelle [elle] ne serait pas là aujourd’hui». «Ce schéma de pouvoir dominateur, de plus en plus décomplexé, éclate dans plusieurs domaines», a fait remarquer la cinéaste. D’abord socialement - «c’est là où c’est le plus choquant», dit-elle, mais aussi dans «toutes les autres sphères de la société, et le cinéma n’y échappe pas.»

La ministre «estomaquée»

La ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, s’est dite «estomaquée» par le discours «injuste» de la Française.

«Heureuse de voir la palme d’or décernée à Justine Triet, la dixième pour la France ! Mais estomaquée par son discours si injuste. Ce film n’aurait pu voir le jour sans notre modèle français de financement du cinéma qui permet une diversité unique au monde. Ne l’oublions pas», a-t-elle écrit sur Twitter.

Dans Anatomie d’une chute, Justine Triet imagine le procès d’une femme (Sandra Hüller) accusée de l’homicide de son mari, dans un film passionnant et limpide qui avait remporté la palme des critiques de Libération. Son long métrage est attendu dans les salles françaises le 23 août.

Libération

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Sortir... BASQUIAT SOUNDTRACKS du 6 avril au 30 juillet 2023 - Philharmonie de Paris

19 Mai 2023 , Rédigé par Philharmonie de Paris Publié dans #Art

EXTRAIT

La Philharmonie de Paris organise la première exposition consacrée à la relation puissante de Jean-Michel Basquiat à la musique. Donnant à entendre autant qu’à voir, Basquiat Soundtracks s’offre comme la bande-son héroïque, multiple et foisonnante d’une œuvre fulgurante, pour laquelle la musique se révèle une clé d’interprétation essentielle – de Beethoven à Madonna, du zydeco à John Cage, de Louis Armstrong à la Zulu Nation.

DÉFERLANTES NO WAVE ET HIP-HOP

Émergeant parmi la communauté artistique du New York de la fin des années 1970, où la pluridisciplinarité est de mise, le talent de Jean-Michel Basquiat se révèle à la confluence de deux vagues musicales majeures : la no wave et le hip-hop. Poète, styliste, sculpteur et surtout musicien avant même d’être peintre, Basquiat est le leader officieux du groupe Gray qui partage la scène avec des formations phares de la no wave, tels DNA ou The Lounge Lizards. Ses premiers pas créatifs se font dans les clubs downtown qui servent de repaire à une génération d’artistes marquée par le punk qui, entre performance et expérimentation, cherche à repenser ses pratiques et ramener l’art à la vie. Simultanément, Basquiat subit de plein fouet la déferlante du hip-hop, révolution culturelle qui développe uptown ses propres codes et manières de faire, tant sur le plan de la musique que sur celui de la danse et des arts visuels. Il s’investit dans la communauté des artistes qu’il fédère au point de produire un single de rap intitulé Beat Bop (1983), mettant en vedette un pionnier du genre : Rammellzee.

(...)

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A l'école du théâtre...

16 Mai 2023 , Rédigé par France Culture Publié dans #Education, #Art, #Pédagogie

Faire du théâtre au lycée – Vivreaulycee

Qu’apprend la pratique du théâtre aux jeunes, à travers l'expérimentation du jeu, de la dramaturgie, ou encore de la critique ? Et quelle place pour le théâtre à l'école ?

Avec

​​​​​​​Eric Ruf Comédien, metteur en scène et scénographe, sociétaire honoraire et administrateur général de la Comédie Française

Loïc Vidal Enseignant de l'option Théâtre au lycée (Académie de Créteil)

Marine Jubin Responsable du service éducatif de la Comédie Française

Julie Marty Ancien membre du Jeune Bureau de la Comédie-Française, fondatrice de la compagnie Le Collectif du Grand Douze

"Ce que le théâtre m’a apporté : j’ai pu quitter un petit monde étroit et réglé pour en rejoindre un autre, inépuisable et multiple, celui qui brasse la littérature, la poésie, la politique et l’histoire. C’est ce théâtre-là que nous nous attelons, chaque jour, à transmettre aux publics jeunes". C’est le directeur de la Comédie Française, Eric Ruf, invité de Louise Tourret dans cette émission, qui a écrit ces mots qui disent le pouvoir du théâtre comme éducation pour l’individu.

Dans cet épisode d’Etre et Savoir il s'agira de s'interroger sur pourquoi et comment rendre la pratique du théâtre accessible aux enfants et adolescents de tous les horizons sociaux et culturels. Il sera notamment question du Jeune Bureau, créé dans la maison de Molière, et qui offre une proposition originale dans le domaine. Mais également de la place du théâtre à l’école : de l’interprétation, de la lecture, de l’écriture et de la formation de l’esprit critique et des questions pédagogiques qu’il soulève, sans oublier ses aspects moins scolaires, à savoir le souffle de l’imagination et la fantaisie qui viennent avec le jeu.

Louise Tourret s'entretient avec ses invités : Loïc Vidal, enseignant de l'option facultative et de la spécialité Théâtre au lycée Paul Eluard en Seine Saint-Denis (Académie de Créteil), Marine Jubin, responsable du service éducatif de la Comédie Française, Eric Ruf, comédien, metteur en scène et scénographe, sociétaire honoraire et administrateur général de la Comédie Française, Julie Marty, ancien membre du Jeune Bureau de la Comédie-Française, fondatrice de la compagnie Le Collectif du Grand Douze pour laquelle elle est en charge des actions culturelles.

Avec également Daphkarny Ulysse, lycéenne en terminale spécialité théâtre au lycée Paul Eluard.

La citation

"Le théâtre est une matière qui inverse les hiérarchie : très souvent le dernier de la classe, qui ne sait pas quoi faire de son énergie, de ce qui est pris pour de l'insolence, de sa qualité d'imaginaire débordante, cette matière-là fait qu'il arrive à l'exprimer et ça devient de l'or, c'est respecté, c'est considéré. Dans un établissement ça laisse une possibilité assez exceptionnelle aux uns et aux autres, et il n'y a pas beaucoup de matière qui soit faite d'une telle maïeutique. On ne dit pas assez à l'école, or le théâtre n'est fait que de ça, que les défauts peuvent être des qualités. Quand on arrive à faire comprendre ça à des jeunes gens, ça peut être une ouverture extraordinaire"Eric Ruf

Illustrations sonores

interview de Jean-Louis Barrault pour TF1 (archive INA,1981)

"Comme au théâtre", Cora Vaucaire (1976)

Louise Tourret

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Les mots dans l'art...

14 Mai 2023 , Rédigé par France Culture Publié dans #Art

Braque - La guitare statue d'épouvante - LANKAART

Braque - La guitare statue d'épouvante

Parmi les artistes qui utilisent le langage, il y a ceux qui écrivent dans leur œuvre, c’est-à-dire qu’ils intègrent mots, phrases, lettres ou récits à une pratique plastique que ce soit de la peinture, de la gravure, de la sculpture, du dessin, de l’installation…

Avec

Laurence Cathala artiste plasticienne

Federica Chiocchetti Conservatrice, autrice, éditrice, conférencière spécialisée dans la photographie et la littérature, historique et contemporaine, commissaire d’exposition et directrice du Musée des beaux-arts Le Locle (Suisse).

Marco Godinho Artiste voyageur.

On y voit des mots, on y lit des phrases, on y décèle une information. Pensons aux insertions cubistes de fragments de journal, de textes collés (Picasso et Braque), aux mots peints associés/dissociés à des images dans l’espace même du tableau dans le mouvement Dada, aux images publicitaires détournées (Marcel Duchamp), aux poème-affiches (Raoul Hausmann), aux créations typographiques des constructivistes russes…

 

Plakatgedicht (Poème-affiche), 1918Plakatgedicht (Poème-affiche), 1918 - Raoul Hausmann

Une voie plus conceptuelle s'est développée au moment des années 60, notamment aux États-Unis, dans une tendance à la dématérialisation de l'art. L'art en tant qu'idée, chez Joseph Kosuth, fait grand usage des mots qui remplacent les choses dans une appréhension parfois tautologique qui met à distance toute charge émotionnelle. Mais l'usage des mots, rend aussi possible de délivrer un message, de proposer une critique, de déjouer les codes de la langue dominante patriarcale, de détourner les discours consuméristes en les exposant comme tels.

Il s'agit pour toutes ces œuvres et tous ces artistes de renversement des rapports usuels normés entre mots et images, et de multiples possibles narratifs, poétiques ou critiques qui découlent de ces rapports. D'autres modalités de dialogue se manifestent dans une remise en jeu permanente du textuel et du visuel, du dicible et du visible. Dans l’espace moderne, les mots sont partout et l’art se les approprie à la fois pour être au plus près du réel. L'usage du mot dans l'art a-t-il évolué dans l'histoire ? Et comment penser cet usage actuel du mot dans l'art ?

Federica Chiocchetti "C'est assez intéressant quand on parle de relation mots/images. Il y a toujours une espèce de guerre entre les iconophobes et les logophobes."

Pour aborder cette notion de mots dans l'art, ce qui caractérise leur démarche d'artiste autrice, la prégnance de l'écriture, du livre, des mots, Sally Bonn, Maître de conférence en esthétique à l’Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d’art et commissaire d’exposition, productrice de la série "L'Art est l'écriture", reçoit, pour ce deuxième épisode, Laurence Cathala, artiste plasticienne et enseignante, Federica Chiocchetti, conservatrice, autrice, éditrice, conférencière spécialisée dans la photographie et la littérature, historique et contemporaine, commissaire d’exposition et directrice du Musée des beaux-arts Le Locle (Suisse), et Marco Godinho, artiste voyageur.

Federica Chiocchetti "Les mots dans l'art, c'est quelque chose qui n'est pas nouveau. Si on réfléchit, même dans l'Annonciation de Cortone de Fra Angelico, il y a des mots dans la peinture : toutes les fonctions sont envisageables et possibles, et même plusieurs fonctions dans la même œuvre."

 
L'Annonciation (détail), tempera sur panneau de bois, 1434

L'Annonciation (détail), tempera sur panneau de bois, 1434 

- Fra Angelico

Laurence Cathala "Il y a dans l'histoire des arts graphiques, par exemple dans le domaine du dessin de presse, une très longue tradition qui entremêle mots et images, et ce très naturellement voire beaucoup plus facilement que dans les beaux arts."

Marco Godinho "Je dirais même que les mots sont des éléments vivants. Parfois, ils ont un sens qu'on leur prête, mais quand ils vivent par eux mêmes, ils sont en lien davantage à des processus liés à l'invisibilité. [...]  Donc il y a des mots qui nous invitent au déplacement."

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A Philadelphie, François Chastanet documente l’écriture urbaine

13 Mai 2023 , Rédigé par France Culture Publié dans #Art

The Most Instagram-Worthy Philadelphia Street Art | Let's Roam

Rencontre avec François Chastanet dans le cadre de sa résidence à la Villa Albertine et de son projet de documentaire sur les tags de Philadelphie, fleuron calligraphique méconnu de l’histoire du graffiti américain. 

Affaire à Suivre vous propose chaque jour des nouvelles du secteur culturel en régions et à l’international grâce à nos correspondants à l’étranger et à celles et ceux qui créent la vie culturelle à l’endroit où ils sont. 
Et chaque vendredi, nous prenons la direction des Etats-Unis à la rencontre des artistes en résidence à la Villa Albertine.

Aujourd’hui, Marie Sorbier s’entretient avec François Chastanet, designer graphique, dessinateur de caractères, auteur documentaire et co-fondateur du studio Typo Morpho. Son travail explore en particulier les signes écrits dans l’espace public, de la signalétique institutionnelle aux pratiques manuscrites éphémères. Il mène actuellement une recherche sur l’évolution des formes de l’alphabet latin à travers six études de cas de graffiti en Amérique du Nord et du Sud (Los Angeles, New York et Philadelphie aux États-Unis, São Paulo au Brésil, Tijuana et Monterrey au Mexique). Au cours de sa résidence, il développera un projet documentaire croisant photographie, relevés dessinés et création typographique sur les signatures urbaines de Philadelphie, joyau calligraphique méconnu de l’histoire du graffiti américain.

"Ma démarche consiste à étudier les «tags» d'un point de vue formel, comme autant d'écoles calligraphiques géographiquement ancrées : replacer l’art de la signature urbaine dans la longue histoire des formes de l’alphabet latin et identifier des graphies métropolitaines spécifiques. Nous devons en effet reconnaître que différentes traditions d’écriture-signature coexistent, avec leurs propres outils, styles et méthodologies : le graffiti des noms comme design contextuel questionnant les infrastructures et cultures urbaines locales."

Plus d’informations : Page François Chastanet – Villa Albertine

François Chastanet participera à la conférence "Name Name Writing in Public Space" le dimanche 14 mai 2023 à Brooklyn / Sunset Park / Industry City (en partenariat avec la Villa Albertine) ainsi qu'à la session européenne de ce même colloque du 29 juin au 1er juillet à Hambourg

Graffiti Pier: Philadelphia's Most Popular Unofficial Park – RCL Blog

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Sortir... "Manet/Degas" - Musée d'Orsay/Paris jusqu'au 23 juillet

1 Avril 2023 , Rédigé par France Inter / Arts in the city Publié dans #Art, #Culture

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Sortir... Musée d'Orsay/Paris... «Pastels, de Millet à Redon» jusqu’au 2 juillet.

31 Mars 2023 , Rédigé par Libération - Musée d'Orsay Publié dans #Culture, #Art

Le musée d’Orsay expose ce printemps 2023 une centaine des pastels de sa collection, riche d’environ 500 œuvres. La dernière exposition de cette ampleur consacrée aux pastels du musée, « Le Mystère et l’éclat », date déjà de 2009. Cette nouvelle présentation permettra au public de découvrir ou de redécouvrir ces joyaux de la collection où brillent les œuvres de Millet, Degas, Manet, Cassatt, Redon, Lévy-Dhurmer et bien d’autres.

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