Coup de coeur... Tanguy Viel...
Les vrais livres ont quelque chose de marin, ils sont conçus pour tenir la mer, la contredire même jusqu’à un certain point , à force de fendre les flots, traverser la vague et puis, si possible, avec souplesse retomber dans son creux, armés qu’ils sont de varangues invisibles qui tiennent la coque et l’empêchent de plier. Les vrais livres conservent le long de leur parcours cette résistance à la déformation qui permettra à tous d’être déposés là-bas, de l’autre côté de la fable, déplaçant à la surface de l’eau la masse calculée de leur volume. En ce sens, ce qui suit n’est pas un vrai livre : pas de coque ni d’épontille, encore moins d’étrave pour déchirer aucune mer. Cet ouvrage, à la limite, est un poisson, mais plutôt même, une algue. Son biotope est pélagique : il vit dans ce que les océanographes appellent la zone photique, là où il est encore possible qu’un peu de lumière irrigue la faune, avant que la nuit tombe sur la profondeur. En fait, il vit dans l’imminence de la lumière, excité par sa presque actualité mais il lui faut tenir là, sur ce « presque » : voilà, c’est un presque-livre et comme tendu par la promesse du jour filtrée par l’eau.
Tanguy Viel - Icebergs/Editions de Minuit
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Tanguy Viel : " Il faut se méfier de l'écriture, c'est une sirène " (Icebergs)
Indubitablement, Icebergs de Tanguy Viel, qui paraît aujourd'hui aux éditions de Minuit, s'impose comme un livre clef des années 10. Après la splendide Disparition de Jim Sullivan et le fulgura...
Souvenez-vous... C'était le 7 mai 2017. Et depuis?...
Grève 5 décembre - "Tout est bon pour encourager les médias à rassurer l'opinion"
EXTRAIT
"Jean-Michel Blanquer profitera de la loi sur les retraites pour l'inscrire dans une démarche plus globale sur le métier enseignant". Recevant la presse lors de plusieurs briefings le 26 novembre, l'entourage de JM Blanquer n'a pas fait d'annonce. Après une lettre aux enseignants pour les inviter à ne pas manifester, il s'agit de porter auprès de la presse les promesses gouvernementales. Mais JM Blanquer lie toujours la revalorisation nécessaire des salaires à de nouvelles charges pesant sur les enseignants.
Comment et combien revaloriser
Rien de bien neuf lors du briefing organisé par l'entourage du ministre le 26 novembre si ce n'est son existence même. Au-delà de l'exclusion (inutile !) du Café pédagogique, le briefing , tout comme la lettre aux enseignants du 12 novembre, montre surtout les craintes du gouvernement à propos de la grève du 5 décembre. Tout est bon pour encourager les médias à rassurer l'opinion.
L'entourage du ministre reconnait que "les professeurs seront les grands perdants de la réforme" et que la réforme doit s'accompagner d'une revalorisation. La question est évidemment le montant de cette revalorisation, sa forme et les conditions qui y sont liées.
Le 3 octobre, E Macron avait estimé que 10 milliards seraient nécessaires pour maintenir le niveau de retraite des enseignants, avant d'ajouter "Je ne vais pas revaloriser demain. C'est vos impôts !".
Pas d'engagement sur le maintien du niveau des retraites
Le 26 novembre il n'est plus question de 10 milliards. Aucun engagement n'est pris sur le montant de la revalorisation, ni d'ailleurs sur son calendrier.
(...)
F Jarraud
Suite et fin à lire en cliquant ci-dessous
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Retraites : Promesses de revalorisation contre redéfinition du travail enseignant
"Jean-Michel Blanquer profitera de la loi sur les retraites pour l'inscrire dans une démarche plus globale sur le métier enseignant". Recevant la presse lors de plusieurs briefings le 26 novembre...
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2019/11/27112019Article637104362415535434.aspx
Climat : l’ire aux enfants...
A l’opposé des idées reçues l’imaginant inculte et indifférente, la jeunesse exhorte les adultes à ne plus ignorer la réalité du bouleversement climatique et défilera une nouvelle fois vendredi.
Édito
A l’occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, Libération ouvre ses pages aux auteurs et illustrateurs jeunesse ce mercredi, sous la direction de Marie Desplechin.
Parmi les bouleversements inouïs qu’impose à nos sociétés le désastre écologique en cours, il y a le rapport entre les générations. Il était possible jusque-là de vouloir former les enfants à notre image, de nous prévaloir de l’expérience, de la connaissance, de la raison, qui leur permettraient de poursuivre le trajet glorieux de l’espèce vers l’horizon lumineux du progrès. C’est fini. Les quarante dernières années ont vu se potentialiser des menaces pourtant largement annoncées. En l’espace d’une vie d’adulte, non seulement l’espèce n’a rien fait, mais elle a tragiquement accéléré sa course à l’abîme. L’horizon est en feu. Quelle gratitude pouvons-nous demander aux enfants pour les avoir mis au monde ? Quelle confiance ? Quel respect leur demander envers leurs aînés, quand Donald Trump ou Jair Bolsonaro - qui ont été élus - se chargent de préparer leur futur ?
Mouvement horizontal
Nous sommes convoqués par chaque enfant, chaque adolescent croisé dans une famille, dans une école, dans la rue, chaque bébé dans une poussette. Contraints de réévaluer ce que nous avons vécu et à quoi nous croyions. Le champ de cet examen est vertigineux. Il comprend l’inventaire de nos habitudes matérielles, et celui de nos habitudes de penser. Comment utiliser désormais ce que nous avons appris de vivre, et comment le transmettre ? Probablement pas en célébrant la liberté d’investir et les premiers de cordée.
Il y a une grande douleur dans cette conscience de la faillite. Elle explique sans doute la violence de ceux qui conspuent Greta Thunberg. Elle les vole de la tranquillité repue qu’ils estimaient avoir méritée, à l’automne de leur vie. Et surtout elle est visible. Le mouvement qu’elle a initié est, lui, horizontal et fait tourner les porte-parole.
Greta Thunberg ne s’inscrit pas seulement dans la longue liste des figures héroïques de l’adolescence. Sa nouveauté est de nous imposer un autre ordre que celui que nous connaissions. Relayant les résultats des rapports des scientifiques, c’est elle qui possède les connaissances, c’est elle qui les enseigne, c’est elle qui appelle (en anglais) à la discipline et à la raison. Elle s’est placée du côté des impératifs moraux et du bien commun avec courage et obstination. Et en plus elle est efficace. Qu’on lui enjoigne de retourner au lycée, où elle «apprendrait», est risible.
Convergence des luttes
Ce que révèle Greta Thunberg, et ce que les manifestants ont entendu, est que la jeunesse n’est assignée par essence ni à l’indifférence, ni à l’ignorance, ni à la soumission, catégories auxquelles elle est traditionnellement cantonnée. Il est possible que l’adolescente suédoise marque le début d’un empowerment de la jeunesse. Celle qui habitera le monde qui vient. Celle qui est en capacité de le construire. Voilà qui ouvre des perspectives ébouriffantes. Jusqu’où faudra-t-il prendre en compte la parole des enfants ? A quel âge consentirons-nous à leur donner le droit de vote ? Quel type de démocratie représentera justement leurs intérêts ? Quelle école serait la mieux à même de les former ? Il se trouve heureusement que le monde de leurs aînés n’est pas composé uniquement de cyniques, de démissionnaires et de climatosceptiques. Il compte son lot de résistants, de militants et d’activistes. L’imminence de la catastrophe s’avère en outre extraordinairement féconde pour la pensée, philosophique, scientifique et politique, attachée à élaborer ce qui est et ce qui sera. Enfance, intelligence, on peut croire à la convergence des luttes…
Discrédité par certains - il donnerait aux paresseux une opportunité de «sécher» les cours -, le mouvement des marches est en réalité une étonnante université de tous les savoirs, où s’acquièrent et se rodent connaissances et compétences. Il reste pour l’heure circonscrit aux enfants des classes aisées des pays riches. Il y a à cela une quantité de raisons, au premier rang desquelles la souffrance sociale et l’accès à l’information. Mais il faut souhaiter qu’il gagne toutes les couches des sociétés, partout dans le monde, et s’emballe. Sinon, compte tenu des chocs à venir, ce sont la violence et le chaos qui l’emporteront.
Marie Desplechin
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A l'occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, Libération ouvre ses pages aux auteurs et illustrateurs jeunesse ce mercredi, sous la direction de Marie Desplechin. Parmi les...
https://www.liberation.fr/planete/2019/11/26/climat-l-ire-aux-enfants_1765745
Lire aussi:
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Au lycée, l'envie de passer de la parole au geste
A l'occasion du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, Libération ouvre ses pages aux auteurs et illustrateurs jeunesse ce mercredi, sous la direction de Marie Desplechin. Trois mois
https://www.liberation.fr/france/2019/11/26/au-lycee-l-envie-de-passer-de-la-parole-au-geste_1765732
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Plus de 300 élèves européens donnent des droits à la planète
Tous les jours, retrouvez le Fil vert, le rendez-vous environnement de Libération. "Nous enfants, adultes à venir, on veut changer le monde. On ne veut plus d'un monde pollué", lance Célia Paye...
Coup de coeur... Philippe Sollers - Lettres à Dominique Rolin
reçue à Paris le mercredi 1er août 1979 à 6 heures. (Mardi)
Le Martray, le 31/7/79
Mon amour,
Oui, oui, on a eu raison sur tout, absolument : le retrait, le secret : farouchement, implacablement… C'est l'évidence : le temps est si bref, si long, si invraisemblablement court et long — tout, mais pas cette bouillie qu'ils en font, cette espèce de magma sans fibres… Ah, ah, la crise de l'énergie, le pétrole et maintenant le gaz ! Bon, ça ne fait que commencer. Mais l'Angleterre tient le coup, il paraît ? Très bon signe. Ça va à toute allure, le civilisé se voit soudain percuté en plein vol (augmentation des avions, tu as vu ?). Venise : les gesuati : l'orgue, à midi… Pas de pétrole en ce temps-là ? Pas de gaz ? Et Tiepolo quand même ? Sans électricité ? Aussi frais ? Je t'aime, je t'embrasse,
Ph
Philippe Sollers - Lettres à Dominique Rolin
« Les enseignants doivent pouvoir redevenir les chercheurs qu’ils étaient »
EXTRAITS
« Les professeurs ont-ils encore du temps à consacrer à la réflexion pédagogique ? La réponse est non », regrette Samuel Lequette, professeur de français en collège et en lycée.
Tribune. Ces derniers mois, en marge des formes traditionnelles de l’action syndicale, des enseignants du primaire et du secondaire, des directeurs et des chefs d’établissement ont pris la parole dans la presse et sur les réseaux sociaux pour dénoncer, parfois avec colère, parfois avec désespoir, les conditions d’exercice de leur fonction.
Les mots employés sont forts et renvoient à une dimension psychique, voire psychologique : « solitude », « souffrance », « malaise », « trouble identitaire »… Entendre ces mots-là n’est pas tout à fait nouveau. Il existe d’ailleurs depuis une dizaine d’années une littérature sociologique abondante sur le « mal-être » enseignant en France.
Peut-on parler alors d’un mouvement de libération de la parole ? Dans les faits, il n’y a pas d’omerta absolue (les fonctionnaires de l’éducation nationale sont relativement présents dans la discussion publique), mais un devoir de réserve. Cette obligation concerne le mode d’expression des opinions et non leur contenu, la liberté d’opinion est reconnue. De même, les fonctionnaires de l’éducation nationale, comme tous les agents publics, sont soumis à une obligation de discrétion professionnelle concernant le fonctionnement de leur administration.
(...)
... les professeurs ont-ils encore du temps à consacrer à la réflexion pédagogique ? La réponse est non. Or, pour bien travailler, les enseignants doivent pouvoir s’appuyer sur des expériences, les confronter, afin d’anticiper, adapter et évaluer avec le plus de finesse possible la pertinence et l’efficacité de leur enseignement. Ils doivent pouvoir prendre du recul pour améliorer leur pratique.
La souffrance des enseignants – si tant est que l’on puisse employer le singulier quand on connaît l’extrême hétérogénéité des identités professionnelles et des profils, selon les environnements humain, matériel et politique considérés – est ainsi probablement bien plus un effet organisationnel qu’un reflet de la violence à l’école. Car si les réponses ne sont pas toujours adaptées, si les enseignants, à tort ou à raison, peuvent se sentir isolés ou incompris de leur hiérarchie, reste que les violences verbales et physiques sont assez bien identifiées et que, quantitativement, elles n’ont pas fortement évolué ces dernières années.
(...)
Besoin de formation
Le sentiment, couramment exprimé, de devoir faire face à des injonctions paradoxales, de n’avoir pas d’autre choix que celui de se soumettre ou de se démettre, d’être voué à concilier l’inconciliable, est certes l’une des caractéristiques de notre modernité, voire le signe d’une pénétration de l’idéologie managériale dans le domaine de l’enseignement et de l’éducation, mais c’est aussi le résultat flagrant d’un manque de formation, de communication et d’accompagnement, qui entretient l’impression de chaos et d’opacité.
En ce temps de passions tristes, parler, dire la réalité du terrain, pour les professeurs qui ne peuvent ou ne souhaitent pas renoncer à leur métier, c’est prendre et garder conscience des rôles particuliers qu’ils endossent, de la pénibilité que ceux-ci représentent et des risques professionnels qu’ils occasionnent.
(...)
Samuel Lequette, professeur de français en collège et en lycée
La tribune complète est à lire en cliquant ci-dessous
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Les débats sur l'éducation - Actualités, vidéos et infos en direct
Toute l'actualité sur le sujet Les débats sur l'éducation. Consultez l'ensemble des articles, reportages, directs, photos et vidéos de la rubrique Les débats sur l'éducation publiés le mardi...
Revue de Presse Education... Le système — Supérieur...
Petite revue de début de semaine avec quelques infos du week-end concernant le système et le supérieur.
Le système
Réforme du lycée. Le casse-tête des conseils de classe
“La nouvelle version du baccalauréat, avec son tronc commun et ses multiples spécialités chamboulent l’organisation des conseils de classe.”
“« Douze spécialités, 47 enseignants présents, ce n’était pas gérable » : avec la réforme du lycée, le traditionnel conseil de classe est complètement chamboulé et chaque chef d’établissement doit trouver lui-même une nouvelle organisation.”
Au-delà du fact-checking, cinq pistes pour renforcer l’éducation aux médias par Seth Ashley Associate Professor of Journalism and Media Studies, Boise State University
“Quand on parle d’éducation aux médias, on insiste souvent sur la vérification des informations et l’aptitude à détecter des canulars. Or il semble que les établissements scolaires devraient approfondir cette culture médiatique s’ils veulent aider leurs élèves à s’épanouir dans une société démocratique.”
Des associations réclament un plan amiante dans l’éducation nationale
“Des associations réclament un plan amiante dans l’éducation nationale Alors que le ministère doit rendre public le nombre d’établissements scolaires potentiellement dangereux, un collectif de syndicats et d’associations alarme sur les risques sur la santé des enseignants et des élèves.”
Procès en appel de l’école musulmane d’Échirolles
“L’établissement avait été qualifié de « salafiste » par Jean-Michel Blanquer. Placé en liquidation judiciaire, l’établissement n’avait pas rouvert en septembre.”
Pourquoi les enfants de prof réussissent mieux leurs études Par Elodie Chermann
“S’ils réussissent souvent mieux dans leur parcours scolaire, c’est notamment en développant un rapport particulier au savoir et à la gestion du temps.”
Le Café pédagogique exclu de cours
“Il y a deux types de profs. Ceux qui aiment que les élèves posent des questions. Et ceux qui sanctionnent à la moindre interrogation. Si JM Blanquer avait été professeur dans le système scolaire, peut-être aurait-il appartenu à la seconde catégorie. Après bien des avanies, et malgré une demande directe que nous lui avons faite le 23 novembre, le ministre nous ferme la porte de deux "briefings" importants. Ce n’est pas la première fois que nous et quelques autres médias (toujours les mêmes !), avons ce genre de problème depuis 2017. Cette atteinte au droit à l’information semble maintenant pleinement assumée.” Et il semblerait que Médiapart en fasse partie.
Supérieur
Augmenter les droits d’inscription à l’université : une autre conception du service public ? par Thomas Eisinger Professeur associé en droit, gestion financière et management des collectivités, Aix-Marseille Université (AMU)
“La situation précaire de nombreux étudiants est très souvent analysée à la lumière de leurs ressources. Mais la lecture de leurs dépenses est tout aussi instructive. Au premier rang, on y retrouve la hausse des frais de scolarité. Une évolution trop souvent avancée comme technique et comptable, quand elle est en réalité fondamentalement politique…”
« Les étudiants sont demandeurs d’une interdiction des écrans, pour éviter les tentations » Propos recueillis par Marine Miller
“Dans les universités et les grandes écoles, les ordinateurs et les téléphones incitent à la déconcentration, avec des activités sans rapport avec les cours, analyse Juliette Robert, doctorante à l’université d’Auvergne.”
Bernard Desclaux
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Revue de presse du lundi 25 novembre 2019
Petite revue de début de semaine avec quelques infos du week-end concernant le système et le supérieur. Réforme du lycée. Le casse-tête des conseils de classe " La nouvelle version du baccala...
https://www.cahiers-pedagogiques.com/Revue-de-presse-du-lundi-25-novembre-2019