A Voir... La Saveur des Ramen... D'Eric Khoo...
Masato, jeune chef de Ramen au Japon, a toujours rêvé de partir à Singapour pour retrouver le goût des plats que lui cuisinait sa mère quand il était enfant. Alors qu’il entreprend le voyage culinaire d’une vie, il découvre des secrets familiaux profondément enfouis. Trouvera-t-il la recette pour réconcilier les souvenirs du passé ?
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Pour rappel - Dédoublements en REP+ et dommages collatéraux...
Sans moyens supplémentaires, le ministère a supprimé presque tous les PDMQDC alors que ce dispositif n'avait pas été évalué.
Dédoublements en REP+ et dommages collatéraux
Promesse présidentielle, les CP à 12 ont été vite installés dans les REP+. Sans moyens supplémentaires, le ministère a supprimé presque tous les PDMQDC alors que ce dispositif n'avait pas ...
http://ecoleetsociete.se-unsa.org/Dedoublements-en-REP-et-dommages-collateraux
Zemmour, Meirieu et la "modernité"... Par Claude Lelièvre...
EXTRAIT
Zemmour a dévoilé sans le savoir ce qui était en jeu dans dans sa critique au vitriol de « La Riposte », le dernier ouvrage de Philippe Meirieu: la "modernité".
Par delà le caractère ignoble de certaines de ses affirmations (contre-vérités péremptoires ou approximations pernicieuses à propos de la personne même de Philippe Meirieu et de son parcours) que l’on est tenté de traiter purement et simplement par le mépris, Eric Zemmour a montré que son opposition violente reposait sur un contresens historique et surtout allait à contre-sens de la »modernité ». Et là , cela vaut le coup de s’y arrêter quelque temps.
Dans son article paru dans le Figaro du 27 septembre dernier, Eric Zemmour n’est pas remonté assez loin dans le temps pour saisir les racines historiques du "pédagogisme" et de "son pape", Philippe Meirieu. Et pourtant ce n’est pas faute de lui avoir consacré le coeur de son article: « Mai 68 n’est pas à l’origine du pédagogisme mais son triomphe […] Le pédagogisme est, comme toute idéologie, dépendant des conditions historiques de sa naissance, en l’occurrence les années 1920, après la première Guerre mondiale: le pédagogisme sera donc pacifiste, humaniste, internationaliste, socialiste […]. Comme par hasard la mutation antiautoritaire date des années 1920, années des méthodes éducatives nouvelles chères aux pédagogistes à la Meirieu »
Voire! Remontons encore plus loin dans le passé, au moment où les Républicains prennent en main la troisième République et instituent l’Ecole républicaine et laïque (avec ses deux figures emblématiques: Jules Ferry et Ferdinand Buisson, le dirigeant de l’enseignement primaire pendant 17 ans choisi par Ferry).
(...)
Claude Lelièvre
Suite et fin à lire en cliquant ci-dessous
Zemmour, Meirieu et la "modernité "
Zemmour a dévoilé sans le savoir ce qui était en jeu dans dans sa critique au vitriol de " La Riposte ", le dernier ouvrage de Philippe Meirieu: la "modernité ". Par delà le caractère ignoble...
http://blog.educpros.fr/claudelelievre/2018/10/08/zemmour-meirieu-et-la-modernite/
Coup de coeur... Sophie Daull...
"Le type qui a tué ma mère de quarante et un coups d'Opinel, après l'avoir violée une nuit de janvier avec un manche de pelle à neige, a été condamné à l'emprisonnement à perpétuité. Dans la mesure où il ne possédait aucune des caractéristiques du récidiviste, que les experts en assises l'avaient jugé "réadaptable", sans compter que son parcours pénitentiaire était irréprochable, il a été libéré après avoir purgé les dix-huit ans incompressibles. On trouve facilement, dans les archives judiciaires ou de la presse, les détails du crime, du procès, et même de son séjour en prison au cour de ses premières années d'incarcération, puisqu'il a fait l'objet d'un long documentaire télévisuel, où il apparait particulièrement photogénique. A star is born."
Sophie Daull - Au grand lavoir
La recherche au secours de l’école ?
EXTRAITS
Dans les sociétés d’aujourd’hui, il n’est d’activité qu’on ne cherche à améliorer en s’appuyant sur les acquis de la recherche. Cela vaut pour les activités à forte charge humaine, comme la médecine, même si, particulièrement dans ce cas, les apports de la recherche ne sont pas forcément mis en œuvre, parce que des considérations autres que techniques interviennent ; par exemple, si on sait parfaitement comment aider à mourir les personnes en fin de vie, ceci apparaît comme méritant un débat.
(...)
Réformer grâce aux « acquis de la recherche » ?
C’est à cet égard que le ministre de l’Éducation Jean‑Michel Blanquer entend se démarquer. Il affirme vouloir fonder ses réformes sur les acquis de la recherche, par exemple quand il décide de dédoubler les classes de CP en zone prioritaire, en s’inspirant directement des travaux des économistes Piketty et Valdenaire montrant qu’une réduction très marquée de la taille de la classe, dans les milieux les plus défavorisés, peut atténuer les inégalités sociales.
Certes, on déplorera qu’il semble juger sans importance de remettre du même coup en cause, avant toute évaluation sérieuse, l’expérience « plus de maîtres que de classe », engagée elle aussi sur la base de recherches.
Mais ce ne sont peut-être pas là les recherches dans lesquelles il a le plus confiance… Aujourd’hui, il existe une multitude d’approches scientifiques des questions scolaires, et de toutes aussi nombreuses contingences politiques ou personnelles font qu’on se tournera plutôt vers telle ou telle.
Les neurosciences à la rescousse
Alors que la ministre précédente mettait en avant les travaux sociologiques et économiques établissant les bienfaits d’une certaine mixité sociale, le ministre actuel affirme haut et fort sa confiance dans les neurosciences. Certes, ces approches ne prétendent pas répondre aux mêmes questions. Comment des élèves par ailleurs comparables travaillent ou vivent plus ou moins bien selon la composition sociale du public de l’établissement, dans un cas ; de l’autre, comment les jeunes cerveaux abordent les premiers apprentissages ?
Dans sa confiance envers les neurosciences, qui s’est traduite par la nomination d’un neuroscientifique à la tête du conseil scientifique de l’Éducation nationale installé en janvier 2018, Jean‑Michel Blanquer n’innove en rien. Dès 2006, Gilles de Robien alors ministre exprimait son enthousiasme par rapport à « la science, la vraie, la science expérimentale », poursuivant « cette science toute jeune, c’est la science du cerveau ».
On croit entendre mot pour mot Jean‑Michel Blanquer, quand il s’efforce de présenter sa politique comme découlant tout simplement de la science qui lui semble la moins contestable. Et séduisante, car les neurosciences restent un continent relativement noir, mystérieux, prometteur mais encore très neuf, et c’est sans doute pour cette raison que l’enthousiasme du début du XXIe siècle (exprimé également par les instances européennes) ne s’est guère traduit jusqu’alors dans les politiques éducatives.
La tentation d’instrumentaliser la science
S’il sait être enthousiaste, le milieu scientifique est par nature et en général, prudent, bien plus que le milieu politique qui lui, doit trancher et prendre, pour exister, un flot incessant de « mesures »… Et pour trancher dans les débats que suscitent toute décision politique, la tentation est grande d’instrumentaliser la science, comme s’il était possible d’en tirer toujours des conclusions univoques, populaires si possibles (tel que le B.A-BA pour apprendre à lire).
Mais si les techniques d’imagerie cérébrale permettent de voir les régions du cerveau activées lors de telle ou telle tâche, il reste à interpréter ce constat d’une « activité »cérébrale » (notamment, est-on face à une cause des apprentissages, ou bien à une conséquence ?).
Plus largement, tout neuroscientifique sérieux sait pertinemment que ses expériences sont des expériences, pas forcément transposables, et que les mécanismes de l’apprentissage, plurifactoriels, ne se réduisent pas à un circuit neuronal particulier.
Il sait pertinemment que le meilleur cerveau du monde n’apprend pas tout seul mais en interaction avec d’autres, que la méthode pédagogique qui respecte le mieux du monde le fonctionnement cérébral ne peut rien contre un enfant qui ne veut pas apprendre, ou encore que les principes redécouverts mais somme toute assez élémentaires selon lequel il convient de stimuler l’attention ou la curiosité des élèves risquent de rester sans effet sur les apprentissages avec des d’enseignants peu motivés, des journées de classe à rallonges ou des enfants mal nourris !
(...)
Professeure des universités émérite en sociologie, Observatoire sociologique du changement, Sciences Po – USPC
L'article complet est à lire en cliquant ci-dessous
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La recherche au secours de l'école ?
Dans les sociétés d'aujourd'hui, il n'est d'activité qu'on ne cherche à améliorer en s'appuyant sur les acquis de la recherche. Cela vaut pour les activités à forte charge humaine, comme la ...
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Luc Rouban : « Le macronisme est une chimère politique »...
EXTRAITS
Selon le politologue Luc Rouban, l’idée d’une grande convergence des électeurs vers un centre libéral, high-tech et mondialisé, qui devait être le socle d’une nouvelle pratique du pouvoir, n’était pas fondée.
Emmanuel Macron semblait avoir tout pour lui, la jeunesse, la volonté de rupture avec le vieux monde, un mouvement, une large majorité… Mais son pouvoir ne cesse de tanguer depuis cet été. Comment expliquez-vous ces fragilités ?
On pourrait dire que l’ADN politique du macronisme est instable. Emmanuel Macron avait effectivement tout pour lui, du moins apparemment. En fait, il gagne l’élection présidentielle par défaut dans un contexte invraisemblable : le président sortant ne se représente pas, les primaires de la gauche et de la droite font émerger des candidats décalés par rapport au centre de gravité des électorats de gauche et de droite, François Fillon est pris dans l’affaire des assistants parlementaires. De plus, les électeurs à gauche ont surtout peur d’un duel Fillon-Le Pen au second tour.
Mais cette fragilité ne vient pas seulement des conditions de sa victoire. Elle vient aussi de sa nouveauté : son mouvement n’est pas un parti réunissant des personnalités nationales bien connues, il n’a pas de racines locales, Emmanuel Macron n’a jamais été élu avant. Et puis l’analyse sur laquelle se construit En marche ! est fausse : il n’existe pas de grande convergence des électeurs vers un centre libéral, high-tech et mondialisé.
Le clivage gauche-droite a la vie dure, surtout lorsqu’il s’agit d’immigration et même de réformer les entreprises ou la fonction publique. Donc, le macronisme est piégé par cette dynamique et ne peut s’affirmer qu’en proposant un pouvoir pragmatique : nous allons enfin faire du concret sans avoir à rendre des comptes aux partis ou à s’emmêler dans des controverses sans fin comme l’a fait François Hollande.
Pour stabiliser cette formule, il fallait montrer très vite que le gouvernement réunissait les bonnes volontés de tout bord, qu’il travaillait de manière horizontale, ouverte, sans a priori, comme le fait un chef d’entreprise avec ses collaborateurs. Mais la pratique n’a pas suivi et on se retrouve avec une chimère politique dont l’espérance de vie risque d’être courte.
(...)
Quelle est l’ampleur de la déception chez les « marcheurs » ?
Il est difficile d’en mesurer l’ampleur réelle mais cette déception existe notamment chez les députés. Beaucoup attendaient vraiment un grand soir de la mobilité sociale, de l’émancipation, des réformes de fond portant sur les structures mêmes de la société française, comme celles qui régissent l’accès aux élites. Et certains pensent aujourd’hui qu’on a des réformes a minima, des rapports d’énarques qui dressent des scénarios prudents et conservateurs, bien loin de la fameuse « disruption ». C’était d’ailleurs le sens des remarques de Nicolas Hulot comme de Gérard Collomb, qui a souligné à quel point la situation s’est dégradée sur le terrain de la sécurité.
(...)
« C’est moi ou les populistes », dit en substance Emmanuel Macron, à quelques mois des élections européennes. A-t-il raison ? Et combien de temps cette posture peut-elle tenir lieu de ligne politique ?
L’argument « c’est moi ou le chaos » permet de continuer sur la lancée de la campagne de 2017 alors même qu’il est faux sur le plan sociologique et politique, car le populisme du Rassemblement national n’est pas celui de La France insoumise. Sa faiblesse fondamentale tient au fait que la grande majorité des électeurs ne sont pas demandeurs d’émancipation individuelle mais de protection contre l’insécurité, la pauvreté, la perte de leur univers culturel habituel. C’est pourquoi il faut prendre les populismes au sérieux. Cette ligne politique peut d’ailleurs être suivie par Les Républicains, du moins s’ils réussissent à modérer leur libéralisme économique.
Propos recueillis par Nicolas Truong
L'entretien complet est à lire (pour abonnés) en cliquant ci-dessous
Luc Rouban : " Le macronisme est une chimère politique "
Selon le politologue Luc Rouban, l'idée d'une grande convergence des électeurs vers un centre libéral, high-tech et mondialisé, qui devait être le socle d'une nouvelle pratique du pouvoir, n'...
Rue de Grenelle, les signes d’une gouvernance dirigiste et autoritaire s’accumulent...
EXTRAITS
Cette semaine, on a appris une nouvelle démission du Conseil supérieur des programmes, la troisième en quelques mois. La série interpelle, comme questionnent les propos de la démissionnaire, M-A Grard, estimant que le CSP « est devenu un lieu où on enregistre les textes proposés mais où il est impossible d’avoir des discussions. Or la richesse du CSP était dans ses débats ». Cela commence à ressembler à un refrain : discussion impossible, absence de concertation, décisions venues d’en haut, décrets directifs, corps intermédiaires court-circuités, la gouvernance actuelle de l’Education nationale accumule les signes d’un dirigisme autoritaire. Retour sur les épisodes précédents.
CSP, mis sous tutelle
Quand Michel Lussault a démissionné de la Présidence du CSP, fin 2017, personne n’a été vraiment étonné, tant il était en opposition avec JM Blanquer sur à peu près tout. Le CSP, créé par Vincent Peillon, n’a alors pas bonne presse auprès du ministre, qui souhaite malgré ce qu’il dit revoir les programmes. Il nomme Souâd Ayada, une fidèle, à sa tête. Celle-ci multiplie depuis les prises de positions controversées et tranchées, marquées idéologiquement, disant tout haut ce que le ministre pense tout bas. Quelques semaines plus tard, la vice-présidente du CSP, Sylvie Plane démissionne à son tour. Elle estime que « le CSP a été petit à petit complètement dépossédé de ses missions », notamment par les missions Cyrulnik sur la maternelle et la mission Villani sur les maths, diligentées par le ministre et qui cadrent parfaitement avec sa vision de l’école. Un autre membre du CSP, Denis Paget, estime lui aussi que le Conseil est « devenu une chambre d’enregistrement des souhaits du ministre ». L’épisode de cet été, où le CSP modifie les programmes de primaire à la demande du ministre et sous la houlette autoritaire de Ayada, sans consensus, à la va-vite et à la grande surprise de plusieurs membres du CSP, est là pour en témoigner. (A lire, le papier qui résume le rififi au CSP).
Nouveaux programmes du lycée : absence de concertation et de transparence
Le même CSP est actuellement en train de mettre la dernière touche aux nouveaux programmes du lycée. Là aussi, les réactions sont unanimes : tout se fait en vase clos, les principaux intéressés sont laissés de côté. La Conférence des associations de professeurs spécialistes (une quinzaine d’associations expertes en lettres, SVT, musique, SES, philosophie, physique-chimie…) « dénoncent les conditions dans lesquelles le Conseil supérieur des programmes entend les recevoir afin de discuter des projets de programme du lycée, en refusant de leur faire parvenir le moindre document préparatoire témoignant de l’avancement actuel de sa réflexion, pourtant présentée comme "en voie d’achèvement" ». Ces associations « regrettent un manque de transparence plus propre à la défiance qu’à une véritable concertation, et nuisible à la qualité et au sérieux qui doivent présider à de tels travaux ». Même son de cloche du côté de l’Apmep (maths) qui « regrette de n’être officiellement consultée par le CSP qu’au moment où l’écriture des programmes est sur le point d’être finalisée ». Le premier syndicat du second degré, le SNES, a quant à lui annoncé qu’il ne rencontrerait pas le CSP, les conditions d’un travail de qualité n’étant pas réunies, notamment en termes de délais. Pour le SNES, « les projets de programmes semblent relever pour le CSP d’une sorte de décret d’état ».
(...)
Seul le CNESCO…
De toutes les instances, le Conseil national d’évaluation du système scolaire (CNESCO) est la seule à être encore vraiment indépendante. Le sérieux de son travail, salué unanimement dans la profession (conférences de consensus sur la lecture, …) lui confère une aura y compris chez les députés, qui voudraient renforcer son rôle.
JM Blanquer a annoncé quant à lui, une « évolution » était à l’étude, concernant le CNESCO, mais on a comme l’impression qu’il n’envisage pas vraiment d’en élargir et d’en renforcer les missions : « on va vers une instance d’évaluation ». On ne serait pas étonné que dans les mois à venir, le CNESCO soit cantonné à un rôle de surveillance et de contrôle.
Le ministre aura alors mis sous tutelle la totalité des instances liées à l’école, y compris les plus indépendantes, ce qui renforcerait sa politique résolument verticale, descendante (top-down disent les anglo-saxons), fondée sur le contrôle de tous par quelques-uns. Cette hypercentralisation confisque tous les pouvoirs, écarte les contre-pouvoirs, court-circuite les corps intermédiaires (syndicats, représentants, Conseils divers…), dénigre toute opposition, élimine toute contradiction.
Le même JM Blanquer, à son arrivée rue de Grenelle en mai 2017, déclarait : « Il faut en finir avec les révolutions verticales ».
Suivez l’instit’humeurs sur Facebook et sur Twitter @LucienMarboeuf.
Le billet complet est à lire en cliquant ci-dessous
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Rue de Grenelle, les signes d'une gouvernance dirigiste et autoritaire s'accumulent
Cette semaine, on a appris une nouvelle démission du Conseil supérieur des programmes, la troisième en quelques mois. La série interpelle, comme questionnent les propos de la démissionnaire, M...