Blanquer se perd dans les rythmes scolaires ...
Le ministre de l'Education nationale a cité, lundi matin, une étude scientifique comparant, dit-il, les effets de la semaine de quatre jours avec celle de quatre jours et demi... alors qu'elle compare en réalité les semaines de quatre jours et demi entre elles.
INTOX. «Quand je suis arrivé dans mes fonctions, sur mon bureau j’avais une étude de Depp [Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance], qui avait été commandée par ma prédécesseure et qui montrait de façon extrêmement documentée qu’il n’y avait pas d’impact sur la performance scolaire selon que l’on se trouve à quatre jours ou à quatre jours et demi.» Le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, lundi sur France Inter.
DÉSINTOX. La situation était assez incongrue, limite drôle. Lundi, quelques heures après son intervention sur France Inter, Jean-Michel Blanquer était attendu à un colloque sur les rythmes scolaires, où des chercheurs présentaient leurs derniers travaux sur le sujet. Le ministre avait envoyé pour le représenter un chercheur de la Depp, ce service du ministère chargé de mener des études et évaluations, que citait le ministre dans son interview le matin même. Au pupitre, Olivier Cosnefroy attaque par un préambule : «La Depp est là pour faire des constats, toutes nos publications sont disponibles en ligne.» Puis: «Sur la réforme des rythmes scolaires, la Depp n’a pas proposé une étude d’impact global. Pour cela, il aurait fallu pouvoir comparer avec un groupe témoin resté à quatre jours.»
Le chercheur de la Depp explique donc avoir seulement comparé les effets sur les apprentissages des élèves des différentes organisations du temps scolaires proposées sur quatre jours et demi : entre les communes qui ont opté pour deux après-midi plus courtes que les autres, par exemple, et celles qui ont concentré les activités périscolaires le vendredi après-midi… Une journaliste dans la salle lui demande : «Vous n’avez donc pas comparé les effets de la semaine de quatre jours par rapport à celle de quatre jours et demi ?» Réponse : «Oui, c’est bien cela.» Mais alors, la déclaration du ministre ce matin… Le chercheur, embarrassé : «Il faut poser la question à la personne concernée.» Interrogé, l’entourage de Blanquer renvoie sans se démonter sur l’étude, et souligne plusieurs passages comme : «L’étude portant sur les apprentissages des élèves […] ne mesure que des effets d’une ampleur très limitée [selon les différentes organisations sur quatre jours et demi, ndlr], largement inférieure aux effets des variables sociales ou culturelles.»
François Testu, chronobiologiste de la première heure et à l’origine de ce colloque, soupire. Il a beau se répéter que «les scientifiques sont là pour dégager des données», sans se mêler du politique, quand même, cette situation l’exaspère : «Aucun scientifique ne vous dira que la semaine de quatre jours est la meilleure solution.» Il cite plusieurs recherches qu’il a lui-même menées, notamment à Roanne (Loire) et Mulhouse (Haut-Rhin), et dit en perdre son latin «à force». Il farfouille dans ces documents, en ressort une photocopie du Quotidien du médecin : «En 1994 déjà, un appel de chercheurs : "Semaine des quatre jours à l’école, le réquisitoire de spécialistes des rythmes".» Il parle sommeil, rythmicité journalière, vigilance en classe, capacité de concentration et bien-être de l’enfant. Au passage, il explique aussi que l’Observatoire des rythmes et des temps de vie des enfants (Ortej), qui a organisé ce colloque lundi, a été créé il y a quatre ans pour justement arriver à faire entendre la voix de la recherche scientifique dans ce débat récurrent… Loupé.
Marie Piquemal
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Blanquer se perd dans les rythmes scolaires
Le ministre de l'Education nationale a cité, lundi matin, une étude scientifique comparant, dit-il, les effets de la semaine de quatre jours avec celle de quatre jours et demi... alors qu'elle ...
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Coup de coeur... Fiodor Dostoïevski...
Dès demain ... oh! si je pouvais partir, dès demain! Renaître, ressusciter! Il faut leur prouver ..., que Paulina sache que je peux encore être un homme, Il suffirait ... d'ailleurs, maintenant, il est trop tard, mais demain... Oh! J'ai un pressentiment, et il ne peut en être autrement! J'ai maintenant quinze louis d'or et j'ai commencé avec quinze florins! Si l'on débute avec précaution ... Est-il possible que je sois un si petit enfant? Est-ce que je ne comprends pas que je suis un homme perdu? Mais ... pourquoi donc ne pourrais-je pas ressusciter? Oui! Il suffirait, une fois dans ma vie, d'être prudent, patient et ... c'est tout! Il suffirait, une seule fois, d'avoir du caractère et, en une heure, je peux changer toute ma destinée. L'essentiel, c'est le caractère. Je n'ai qu'à me souvenir de ce qui m'est arrivé il y a sept mois à Roulettenbourg, avant de me ruiner définitivement. Oh! Ce fut un remarquable exemple de résolution : j'avais tout perdu, tout...Je sors du casino, je regarde ... un florin se promenait encore dans la poche de mon gilet: Ah! J'ai encore de quoi dîner!» me dis-je, mais après avoir fait une centaine de pas, je me ravisai et rebroussai chemin. Je mis ce florin sur manque (cette fois, c'était sur manque) et, vraiment, l'on éprouve une sensation particulière lorsque, seul, en pays étranger, loin de sa patrie, de ses amis, et ne sachant pas ce qu'on va manger le jour même, on risque son dernier florin, le dernier, le dernier! Je gagnai, et, vingt minutes plus tard, je sortis du casino avec cent soixante-dix florins en poche. C'est un fait! Voilà ce que peut parfois signifier le dernier florin! Et si je m'étais laisse abattre, si je n'avais pas eu le courage de me décider ?... Demain, demain, tout sera fini!
Fiodor Dostoïevski - Le Joueur
Vers l'école de demain... Une politique d’éducation prioritaire et de mixité sociale au service de l’excellence - Najat Vallaud-Belkacem... (5)
En 10 points - à raison d'un par jour - propositions pour une "Ecole de demain"
5. Une politique d’éducation prioritaire et de mixité sociale au service de l’excellence
Au sein d’un système scolaire marqué par le poids du déterminisme social, nous avons posé les bases d’une École plus juste, avec la mise en place de l’allocation progressive des moyens, la nouvelle éducation prioritaire à l’école et au collège, le dispositif d’accès des meilleurs bacheliers dans les filières sélectives, la mobilisation de l’École et de ses partenaires pour lutter contre le décrochage scolaire, la conservation des notes au bac, et le droit au redoublement dans l’établissement d’origine, ou encore les nouveaux parcours d’excellence. L’une des origines essentielles de l’inégalité de parcours scolaire et universitaire entre les jeunes gens de notre pays réside dans l’autocensure qui est beaucoup plus forte dans les milieux modestes. J’ai donc mobilisé et inventé de nouveaux leviers pour briser ce cercle vicieux de la reproduction sociale. Les bacheliers professionnels disposent désormais d’un accès privilégié au BTS. Les meilleurs bacheliers de chacun de nos établissements disposent aussi d’un accès privilégié aux filières sélectives qu’ils avaient demandées et pas encore obtenues. Les parcours d’excellence qui concernent essentiellement les élèves ou anciens élèves des réseaux d’éducation prioritaire ont pour objectif d’accompagner collégiens et lycéens dans la préparation de leur baccalauréat et de leur poursuite d’études. Dans une société où la précarité a pu éloigner certains parents de l’École, nous en avons fini au travers de ce quinquennat avec la réduction systématique des soutiens aux familles en difficulté : nous avons augmenté les fonds sociaux de plus de 85 % et accru les bourses des lycées et des collèges, en veillant à ce que les fournitures scolaires soient demandées avec parcimonie.
Nous avons agi partout, y compris là ou tant d’autres avaient renoncé : dans les 1 095 réseaux d’éducation prioritaire et dans les 450 lycées les plus fragiles, les moyens et le nombre d’adultes sont renforcés. Tous les territoires fragiles sont aidés : en Seine-Saint-Denis, 1 566 postes auront été créés depuis 2012. Pour les écoles de l’académie d’Aix-Marseille, nous avons créé 1 129 postes dans le 1er degré pour 11 800 élèves de plus : 1 enseignant supplémentaire pour 10 élèves de plus. Pour les écoles de l’académie de Créteil, nous avons créé 2 713 postes dans le 1er degré pour 23 168 élèves de plus : 1 enseignant supplémentaire pour 9 élèves de plus. Pour les écoles de l’académie de Lille, nous avons créé 835 postes dans les écoles alors même que le nombre d’élèves reculait de 5 200. C’est un choix clair, concret que j’ai porté : mettre plus d’enseignants, baisser le nombre d’élèves par classe dans les territoires qui le nécessitent. C’est cela l’égalité des chances en actes.
Pour les lycées et lycées professionnels relevant de l’éducation prioritaire, ainsi que pour ceux qui scolarisent les élèves les plus défavorisés, une réforme d’ampleur sera nécessaire. Elle devra à la fois être cartographique pour actualiser la liste des établissements, financière et pédagogique, avec l’élaboration d’un référentiel permettant d’atteindre les ambitions fixées à l’éducation prioritaire. Dans cette attente, j’ai mobilisé 450 ETP pour la prochaine rentrée scolaire et pris les dispositions pour sécuriser jusqu’en 2019 les indemnités des enseignants de ces lycées et leurs droits pour mutation.
Je souhaite aussi insister sur l’importance d’amplifier encore la politique de mixité sociale au collège. Voilà une politique construite à partir des acteurs de terrain, fondée sur l’autonomie, la confiance et la responsabilité. Une politique qui fait l’objet d’une évaluation et d’un accompagnement scientifiques rigoureux. Une politique qui crée des solutions à partir d’une analyse partagée des acteurs concernés, sans chercher à imposer telle ou telle modalité. À ce jour, 47 départements sont engagés au sein de 82 territoires pilotes qui concernent 249 collèges. En dépit de tous les scepticismes, la dynamique est réelle et les réussites incontestables sur le terrain. Toutefois, il faudra maintenir l’impulsion nationale et l’implication au plus haut niveau du ministère pour la prolonger.
Le soutien à la ruralité est aussi devenu une composante importante de l’action pour une éducation de qualité dans tous les territoires. Trop longtemps ce ministère a refusé de reconnaître la nécessité d’une approche territoriale. Trop d’élus et de parents d’élèves vivent dans l’angoisse de la carte scolaire. Le contexte démographique de beaucoup de nos campagnes est en effet très défavorable : dans les 20 départements les plus ruraux, il y a eu une baisse de 10 000 élèves entre 2011 et 2014 ; et il y aura une baisse d’environ 25 000 élèves entre 2015 et 2018. Le corollaire est la peur de perdre une classe ou une école, la peur de voir un service public disparaître et ainsi voir reculer l’attractivité de la commune. Au travers des conventions ruralité, les élus, l’éducation nationale et le préfet se mettent désormais autour de la table pour dialoguer, pour se mettre d’accord sur un diagnostic et le scénario d’évolution du réseau d’écoles. Cette politique de partenariat gagnant-gagnant, je l’ai voulue volontariste et ambitieuse pour l’école rurale : il y a deux ans, 5 départements s’étaient engagés dans ces « conventions ruralité » ; aujourd’hui il y en a 42.
Enfin, j’ai voulu accompagner les outre-mer pour que dans ces départements et collectivités aussi, nous nous donnions les moyens d’une École qui favorise la réussite de tous et porte chacun vers l’excellence. Avec la loi pour l’égalité réelle outre-mer, l’École sera au centre des attentions et des enjeux pour l’égalité réelle et la convergence des outre-mer vers l’Hexagone.
Najat Vallaud-Belkacem
Demain:
La grande mobilisation de l’École pour les valeurs de la République doit se poursuivre et s’amplifier
Pour lire les chapitres 1, 2, 3 et 4 , cliquer ci-dessous
Etudiants, l'avenir à crédit...
Dans le monde, les jeunes poursuivant des études supérieures étaient 13 millions au milieu des années 60. En 2015 ils étaient 200 millions. Dans 15 ans ils seront 400 millions. Une formidable clientèle se dessine. Partout la transmission du savoir devient une marchandise, un service à vendre. Sous l´effet de la compétition internationale, les universités se transforment en de gigantesques entreprises. Une enquête aussi éclairante qu´inquiétante sur un phénomène émergent en Europe...
Réalisé par Jean-Robert Viallet. Production : Arte France, CFRT
Public Sénat
Film à voir en cliquant ci-dessous
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Dans le monde, les jeunes poursuivant des études supérieures étaient 13 millions au milieu des années 60. En 2015 ils étaient 200 millions. Dans 15 ans ils seront 400 millions. Une formidable ...
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Revue de Presse Education... Le ministre et ses "réformes" - Bac et Supérieur - Divers...
Aujourd’hui on revient encore et toujours sur les non-réformes du ministère. On parle aussi du bac et du supérieur. Quelques informations diverses pour terminer.
Le ministre et ses "réformes"
Aujourd’hui sort l’arrêté modifiant l’épreuve du brevet 2018.
"La version 2017 du brevet des collèges, introduite dans la logique de la réforme du collège de 2016, n’aura duré qu’un an." Notons d’ailleurs que les professeurs attendent toujours les modalités pour la nouvelle épreuve orale. Il est vrai qu’ils n’ont pas l’habitude de préparer leurs élèves aux examens, alors pourquoi leur donner les modalités ? Le DNB n’est que dans 7 mois...
Un projet de décret rétablit la possibilité du redoublement
« Le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer veut assouplir la politique de sa prédécesseure Najat Vallaud-Belkacem qui avait rendu cette procédure exceptionnelle. »
Nadia Daam a corrigé la copie de Jean-Michel Blanquer au sujet de l’égalité fille-garçon. « J’ai cherché d’autres façons d’écrire cela de manière plus élégante et nuancée. Mais je n’ai pas trouvé : le ministre de l’Éducation nationale n’en a rien à foutre de l’égalité entre les sexes. »
Recherche en éducation : M. Blanquer joue la carte des neurosciences
« En nommant Stanislas Dehaene à la présidence d’un nouveau Conseil scientifique de l’éducation nationale, le ministre de l’éducation fait réagir enseignants et chercheurs. »
Pour bien financer toutes ces "réformes" le ministre semble avoir trouvé un moyen : l’effondrement des postes aux concours du second degré. “Le tournant a été annoncé. Il arrive maintenant officiellement avec la publication au Journal officiel ce 29 novembre des postes mis aux concours du second degré. En moyenne il y a 20% de postes en moins à tous les concours externes du second degré : -19% à l’agrégation, - 20% pour le capes, - 21% pour le capet et le capeps, - 18% pour les plp. Les postes mis aux concours internes sont préservés. Pour le concours de professeur des écoles, il faut encore attendre.”
Bac et Supérieur
Les parents d’élèves de l’Enseignement catholique réclament « un baccalauréat modulaire »
Recueilli par Denis Peiron , “Alors que se déroule actuellement une mission sur l’avenir du baccalauréat, Caroline Saliou, la présidente de l’Apel, l’Association des parents d’élèves de l’enseignement libre, demande une réforme en profondeur, avec la suppression des différentes filières du lycée.”
Terminale : un nouveau site pour s’orienter dans l’enseignement supérieur
« Terminales2017-2018 propose d’abord d’« explorer les possibles », grâce des conseils pratiques sur l’orientation, la présentation des filières envisageables en fonction du type de bac préparé, ou encore des informations sur les métiers en fonction du niveau d’études. »
Licence universitaire : les étudiants inquiets pour la compensation de leurs notes
Par Marie-Christine Corbier. “C’est le sujet d’inquiétude qui monte dans les universités, en lien avec la future licence : les étudiants ne savent pas si leurs notes pourront être compensées comme aujourd’hui. Le système actuel permet de compenser une note de 2 sur 20 par un 18 sur 20 ailleurs. Les modules d’enseignement se compensent entre eux sur un semestre et les semestres se compensent entre eux sur l’année, sans note éliminatoire.”
Divers
Forte mobilisation contre la baisse du budget des lycées français de l’étranger
« Les enseignants et les familles s’inquiètent de la baisse de 10 % de la dotation allouée par l’Etat à ces 492 établissements. »
Naufrage d’un ex-ministre et pouvoirs de l’école
“J’ai pu lire sur les réseaux sociaux que le ministre de l’Education nationale s’était indigné de l’interview de Luc Ferry sur BFM TV où ce dernier disait notamment : « Si on supprimait les 15% de quartiers pourris en France, avec des établissements dans lesquels il y a 98 nationalités, on n’arrive pas à faire cours, eh bien nous serions classés numéro 1 à PISA ». L’aurait-il considéré à juste titre comme indigne de quelqu’un qui fut son prédécesseur ?” par Jean-Michel Zakhartchouk
Education & territoires : Qui a peur de l’autonomie des établissements ?
“"L’autonomie n’est pas seulement un changement administratif ; c’est un changement de nature". En ouvrant cette journée organisée par Education et Territoires, François Dubet lui a donné une tonalité, celle d’une opposition entre l’autonomie des enseignants et celle des établissements. C’était peut-être réduire le débat à des thèses déjà bien ressassées alors que les vraies révélations de la journée sont venues des acteurs de terrain qui ont su montrer comment concrètement les collectivités territoriales remodèlent l’éducation.”
Penser la qualité des espaces comme facteur de réussite scolaire
“Cet article est publié en partenariat avec la revue « Le magazine de l’Education » du laboratoire EMA-TechEduLab de l’Université de Cergy-Pontoise.
Pour les spécialistes de la relation entre l’enseignement, la formation et l’apprentissage, de Brousseau à Altet, de Lieury à Houdé, la réussite scolaire est affaire de situations, d’environnement d’apprentissage (milieu didactique) et de métacapacités à gérer les interactions en classes pour les pédagogues ou encore de mémoire de connaissances ou de capacité du cerveau à inhiber les automatismes de pensée pour permettre de réfléchir, de résoudre des problèmes, apprendre et répondre au contrat didactique imposé par le système éducatif pour les psychologues cognitifs.”
Géraldine Duboz
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Revue de presse du mercredi 29 novembre 2017
Aujourd'hui on revient encore et toujours sur les non-réformes du ministère. On parle aussi du bac et du supérieur. Quelques informations diverses pour terminer. Nadia Daam a corrigé la copie d...
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Les enfants et l'esprit d'entreprenariat : elle n'est pas belle la start up nation?...
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Les enfants et l'esprit d'entreprenariat : elle n'est pas belle la start up nation ?
Chronique Le coup de patte par Nadia DAAM diffusée le 28/11/2017 06:56 pendant Europe 1 bonjour : Chaque jour, Nadia Daam vous présente son coup de patte personnel.
Discours de Macron au Burkina Faso: la vraie rupture ne serait-elle pas d’arrêter de s’adresser à un continent comme s’il était un département français?...
Depuis l’indépendance de ses anciennes colonies, la France délivre régulièrement ses messages au continent africain. Emmanuel Macron, en tournée au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Ghana du 28 au 30 novembre, s’est prêté à cet exercice bien français du « discours à l’Afrique ». Un discours de rupture dans les mots, certes, mais la vraie rupture ne serait-elle pas d’arrêter de s’adresser à un continent comme s’il était un département français ?
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Discours de Macron au Burkina Faso : la rupture dans la continuité
Le Monde.fr avec AFP et Reuters Durée : 03:19 | Depuis l'indépendance de ses anciennes colonies, la France délivre régulièrement ses messages au continent africain. Emmanuel Macron, en tourné...