La peur pousse les hommes à n'importe quelle décision extrême.
George Bernard Shaw ; Sainte Jeanne (1924-1939)
Coup de coeur... George Bernard Shaw...
Dire la vérité, c'est la plaisanterie la plus drôle du monde.
George Bernard Shaw ; L'autre île de John Bull (1906)
Au Ciel, un ange n'a rien d'exceptionnel.
George Bernard Shaw ; Maximes pour révolutionnaires (1905)
Quand un imbécile fait quelque chose dont il a honte, il déclare toujours que c'est son devoir.
George Bernard Shaw ; César et Cléopâtre (1898)
Liberté implique responsabilité ; c'est là pourquoi la plupart des hommes la redoutent.
George Bernard Shaw ; Maximes pour révolutionnaires (1905)
Il est dangereux d'être sincère, à moins d'être également stupide.
George Bernard Shaw ; Bréviaire d'un révolutionnaire (1929)
Le manque d'argent est la racine de tout mal.
George Bernard Shaw ; L'argent n'a pas d'odeur (1892)
Le plus grand des maux et le pire des crimes, c'est la pauvreté.
George Bernard Shaw ; Major Barbara (1905)
Le pire péché envers nos semblables n'est pas de les haïr, mais d'être indifférent à leur égard.
George Bernard Shaw ; Le disciple du diable (1896)
Qui n'a jamais espéré ne peut désespérer.
George Bernard Shaw ; César et Cléopâtre (1898)
Ne fais pas aux autres ce que tu voudrais qu'ils te fassent ; leurs goûts peuvent être différents.
George Bernard Shaw ; L'homme et le surhomme (1903)
L'art du gouvernement consiste à organiser l'idolâtrie.
George Bernard Shaw ; L'homme et le surhomme (1903)
La vie égalise tous les hommes ; la mort en révèle les éminents.
George Bernard Shaw ; L'homme et le surhomme (1903)
L'assassinat est la forme extrême de la censure.
George Bernard Shaw ; Maximes pour révolutionnaires (1905)
Toutes les grandes vérités sont d'abord des blasphèmes.
George Bernard Shaw ; Annajanska (1919)
Les gens du commun ne prient guère, ils mendient uniquement.
George Bernard Shaw ; Mésalliance (1910)
Ce n'est pas l'incrédulité qui est dangereuse dans notre société, c'est la croyance.
George Bernard Shaw ; Androclès et le lion (1912)
Le secret du succès est d'offenser le plus grand nombre possible de gens.
George Bernard Shaw ; Maximes pour révolutionnaires (1905)
Il est bien assez temps de penser à l'avenir quand il n'y a plus d'avenir.
George Bernard Shaw ; Pygmalion (1912)
Quand on ne peut pas apprécier ce qu'on a, il vaut mieux avoir ce qu'on peut apprécier.
George Bernard Shaw ; Pygmalion (1912)
La fidélité n'est pas plus naturelle à l'homme que la cage au tigre.
George Bernard Shaw ; L'homme et le surhomme (1903)
Celui qui peut, agit ; celui qui ne peut pas, enseigne.
George Bernard Shaw ; Maximes pour révolutionnaires (1905)
La règle d'or, c'est qu'il n'y a pas de règles d'or.
George Bernard Shaw ; Maximes pour révolutionnaires (1905)
La haine, c'est la vengeance du poltron.
George Bernard Shaw ; Major Barbara (1905)
Le premier amour réclame un peu de sottise, et beaucoup de curiosité.
George Bernard Shaw ; La seconde ile de John Bull (1904)
Quand En Marche (Emmanuel Macron) et la très réac' "Espérance Banlieue" font ami-ami...
Le mouvement "En Marche" - "Mouvement" étant l'appellation facilement utilisée pour éviter celle de "Parti". Il parait que "Mouvement" fait plus jeune. Passons... - créé par Emmanuel Macron, candidat auto proclamé à l'élection présidentielle de 2017, recevait Eric Mestrallet, fondateur de l'association "Espérance Banlieue". C'était le 20 décembre 2016 à Boulogne-Billancourt.
/http%3A%2F%2Fs1.lprs1.fr%2Fimages%2F2016%2F12%2F20%2F6478683_a58aa3b4-c600-11e6-bd61-b82ed3cf4350-1.jpg)
Le mouvement d'Emmanuel Macron vient parler éducation à Boulogne
La personnalité et les idées d'Emmanuel Macron ne laissent pas indifférents. S'il ne se déplacera pas en personne ce mercredi à Boulogne-Billancourt, son mouvement politique, baptisé En march...
Alors, car il faut toujours savoir de qui et de quoi on nous parle, j'invite chacun à lire attentivement l'enquête menée par l'excellent site Questions de classe(s), enquête signée Gregory Chambat et dont je publie les premiers paragraphes ci-dessous, invitant le lecteur à cliquer sur le lien de bas de page pour en savoir et en faire savoir plus.
Vous n'allez pas être déçus...
Christophe Chartreux
________________________________
Les écoles « Espérance banlieues » : médiatiques, traditionalistes et ultra-libérales...
Comment lutter, et pas seulement dans les urnes, contre la montée du FN ? L’hebdo Le « 1 » (au demeurant plutôt sympathique) du 9 décembre 2015 (n° 86) s’est posé cette salutaire question... Mais, en dépliant le journal, on tombe sur un éloge appuyé à la fondation Espérance banlieues, très médiatique - et très lisse ! - vitrine d’un réseau traditionaliste et ultra-libérale, celui de la fondation pour l’École et de ses inspirateurs. Un réseau qui entend en finir avec le service public d’éducation au nom de la foi et/ou du libéralisme le plus radical...
L’occasion de nous replonger dans les ouvrages d’Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi (Main basse sur l’école publique, Demopolis, 2008 et La République contre son école, Demopolis, 2011) pour explorer « l’histoire de cette sainte alliance des libéraux défenseurs d’une école marchande et des traditionalistes rêvant de voir les Églises retrouver le monopole, perdu depuis plus d’un siècle, de la formation des esprits en France. [1] » Une alliance qui s’inspire « directement de la lettre et de l’esprit du programme défendu en matière d’éducation par par le Front national et certains de ses think tanks, tel le Club de l’Horloge, mais aussi plusieurs associations catholiques intégristes, dont quelques-unes sont réputées, à juste titre, proches de l’Opus Dei. [2] »
La très médiatique vitrine d’un puissant lobby
Derrière la fondation Espérance banlieues et son expérience pilote (l’école Alexandre-Dumas à Montfermeil), se déploie une formidable machine médiatique à engranger les reportages à la télé (TF1 dans le « 7 à 8 » et dans différents JT, « Vivement dimanche » sur France 2, le JT de France 3, Le Grand journal de Canal +, Capital sur M6, BFM TV, LCI, etc.), à la radio (Europe 1, France Inter, France Culture, RFI, France Bleue, Radio Classique, RMC, etc.) ou dans la presse écrite (Le Figaro, Les Échos, Fémina, Le Parisien, Paris Match, L’Obs, L’Express, et donc, maintenant, « Le 1 »).
Un survol de la page « revue de presse » du site de la fondation [3] permet cependant d’y remarquer la prépondérance des médias catholiques (La Vie, Familles Chrétiennes, Radio Vatican) mais aussi néo-libéraux tendance réactionnaires (Atlantico, L’Opinion, Contrepoints, Valeurs actuelles – et même le site « Crazy bourse » !) ou des milieux patronaux ("L’Institut de l’Entreprise et ses adhérents peuvent lui apporter un accompagnement déterminant qui lui permettrait de franchir un cap de développement stratégique au service de l’éducation dans les quartiers défavorisés" peut-on lire sur le site de l’Institut de l’entreprise). Elle passe en revanche sous silence des relais moins maintsream et plus ouvertement situés à la droite de la droite tels Radio Courtoisie, SOS Éducation, Boulevard Voltaire, Le Salon beige... sans parler des différents blogs et sites de la « réacosphère », où l’on encense l’expérience de Montfermeil, parfois en invitant ses promoteurs. Notons, parmi d’autres, l’entretien qu’Éric Mestrallet, le fondateur d’Espérance banlieues a accordé à la très traditionaliste revue L’Homme nouveau le 15 avril 2015.
L’école et sa fondation apparaissent comme la vitrine savamment agencée par des experts en marketing d’un courant structuré qui entend en finir avec le service public d’éducation et développer en France un réseau d’établissements scolaires hors-contrat.
Comme toute vitrine, elle exhibe sa meilleure marchandise pour attirer le chaland mais prend soin de laisser l’arrière-boutique – et ses fournisseurs – dans l’ombre. Le discours est calibré, propre à susciter la sympathie et surtout l’adhésion (car il s’agit d’abord et avant tout de collecter le maximum de fonds).
Pour décrypter ce projet nous nous sommes appuyés non seulement sur le site Espérance banlieues - http://www.esperancebanlieues.org - mais aussi sur son « manifeste » officiel Espérance banlieues, co-signé par Harry Roselmack et Éric Mestrallet (éditions du Rocher, 2015). Ce qui n’était au départ qu’une simple vérification sur le net des origines d’Espérance banlieues s’est très vite transformé en une vertigineuse plongée dans la nébuleuse réactionnaire... C’est donc une enquête en plusieurs parties qui nous permettra de dresser le portrait de cette école et de la fondation qui la finance...
(...)
Grégory Chambat
La suite et la totalité de cette enquête sont à lire en cliquant ci-dessous
/http%3A%2F%2Fwww.questionsdeclasses.org%2Freac%2FIMG%2F7.jpg)
Les écoles " Espérance banlieues " : médiatiques, traditionalistes et ultra-libérales... (I)
Comment lutter, et pas seulement dans les urnes, contre la montée du FN ? L'hebdo Le " 1 " (au demeurant plutôt sympathique) du 9 décembre 2015 (n° 86) s'est posé cette salutaire question... M...
http://www.questionsdeclasses.org/reac/?Les-ecoles-Esperance-banlieues
A lire:
Sortir... Au-delà des étoiles - Le paysage mystique de Monet à Kandinsky... Musée d'Orsay - 14 mars/25 juin
Rechercher un ordre situé au-delà des apparences physiques, dépasser les réalités matérielles pour approcher les mystères de l'existence, expérimenter l'oubli de soi-même dans l'unité parfaite avec le cosmos… L'expérience mystique a tout particulièrement inspiré les artistes symbolistes de la fin du XIXe siècle qui, en réaction au culte de la science et au naturalisme, ont choisi de suggérer l'émotion et le mystère.
Le paysage apparaît alors aux artistes comme le support privilégié de leur quête, lieu par excellence de la contemplation et de l'expression des sentiments intérieurs.
Ainsi, l'exposition, organisée en partenariat avec l'Art Gallery of Ontario de Toronto, explore le genre du paysage, à travers les oeuvres de Paul Gauguin, Maurice Denis, Ferdinand Hodler, Vincent Van Gogh notamment, mais présente aussi des peintres d'Amérique du Nord comme Giorgia O'Keeffe ou Emily Carr, moins connus du public français.
La contemplation, l'épreuve de la nuit ou de la guerre, la fusion de l'individu dans le cosmos, l'expérience des forces transcendantes de la nature : autant d'étapes d'un cheminement mystique que l'exposition suggère de parcourir.
Et tous les renseignements pratiques ci-dessous
Revue de Presse Education... SPME - Suites - Orientation et marronnier - Brèves...
Aujourd’hui l’actualité éducative est pléthorique et variée. Cela peut être dû à la Semaine de la presse et des médias à l’école, principale information du jour. Mais les suites des actualités précédentes restent patentes, les marrons sont de saison au printemps c’est l’orientation, quant aux brèves elles sont courtes mais nombreuses.
SPME
Le principal événement médiatique de cette Semaine de la Presse et des Médias à l’école arrive tout droit de l’espace.
Le Ministère a publié ce communiqué : “Thomas Pesquet rejoint la réserve citoyenne de l’Éducation nationale
À l’occasion de la Semaine de la presse et des médias dans l’école et de la Journée mondiale de l’eau, plus de 230 000 élèves du CP à la troisième ont été connectés par le ministère de l’Éducation nationale avec l’astronaute Thomas Pesquet pour un dialogue en direct depuis l’espace.”
On peut lire dans Science et Avenir que “La rencontre a été organisée à l’occasion de la journée mondiale de l’eau.”
VosgesMatin est pragmatique en titrant « On dort super bien dans l’espace ».
Mais la SPME ce sont surtout des enseignants, des élèves et des journalistes qui se mobilisent pour travailler l’éducation aux médias et à l’information (EMI).
Le Républicain Lorrain raconte que “Arnaud Tousch, journaliste à RTL-Radio , est intervenu dans son ancien collège pour la 28e édition de la semaine de la presse. Un retour riche en émotions et peut-être, en vocations.”
Tendance Ouest évoque le travail sur la photographie : “Six photos pour six situations souvent propices à l’isolement. Le handicap, la vieillesse ou encore le racisme… les problématiques sont complexes, mais les 24 enfants d’une classe CM1/CM2 de l’école Henri Brunet à Caen (Calvados) s’y sont confrontés volontiers, lundi 20 mars 2017. "La semaine de la presse à l’école est l’occasion d’échanger sur ces sujets de société et de voir comment la photographie peut souligner des problèmes", expose l’enseignante, Clémence Galleret.”
Une jolie phrase dans L’Yonne Républicaine “À l’occasion de la semaine de la presse à l’école, L’Yonne républicaine s’engage à ouvrir ses portes. Parce que c’est aussi la semaine de l’école dans la presse…”. Un autre article propose “L’éducation aux médias expliquée par deux enseignants”.
Suites
La présidentielle concerne de nombreuses informations.
Libération dans son direct annonce qu’Arthaud et Cheminade veulent des profs plus nombreux et mieux payés. “Les deux candidats à la présidentielle privés du plateau de TF1 continuent de débattre en direct sur Explicite. Sur les questions d’éducation, un point de convergence : celle des moyens pour lutter contre les inégalités scolaires. Ainsi, Nathalie Arthaud, la candidate LO, « il faut des moyens : embaucher des enseignants, des Agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem) dans les maternelles commencer par les écoles, puis les collèges. »”
Le Figaro propose “Présidentielle : comparez les programmes des candidats sur l’éducation”
Des propositions issues de la société civile sont adressées aux candidats à la présidentielle.
Dans Mediapart c’est un “Manifeste pour une éducation nouvelle”. “Suite au Colloque "Quelles utopies pour aujourd’hui ?" organisé par le groupe Lyonnais et le secteur Langues du GFEN avec le Groupe Romand d’éducation Nouvelle (GREN) qui s’est tenu à Villeurbanne les 16-17 et 18 septembre 2016, un petit groupe a poursuivi les travaux par l’écriture d’un Manifeste "Quelles utopies pour aujourd’hui ? Éducation-Égalité-Émancipation"”.
Un autre collectif propose sa lecture du débat dans La Croix : “Pour des « états généraux de l’éducation ». Le laboratoire d’idées Vers le haut – dont Bayard fait partie – demande au futur président de mettre l’éducation au cœur de son action. Marc Vannesson, son délégué général, revient sur cet enjeu.” Le vocabulaire est plutôt mélioratif sur les idées libérales sur l’école portées par messieurs Macron et Fillon.
La nouvelle République poursuit sa série vidéo “la présidentielle vue par” avec Rémi 24 ans. “Salarié d’une mutuelle niortaise, Rémi songe à un vote de contestation à la présidentielle. Il prône plus d’autonomie à l’école, ce dont il a manqué.
[...] Toutefois, « je vote à chaque fois », enchaîne Rémi, 24 ans. Blanc, souvent, « ou par élimination, en choisissant le moins pire des candidats. Cette fois, j’hésite à voter pour… vous voyez quoi », dit-il sans jamais prononcer le nom du parti d’extrême droite dont il approuve « l’opposition à la discrimination positive ».[...]
L’éducation, ça le préoccupe. « Quand on est enfant, l’école nous met tous dans le même panier, sans prendre en compte les rythmes de chacun. Mais en arrivant dans une entreprise, nous devons co-construire, confronter des idées, travailler en équipe. Et ce n’est pas facile, on n’est pas toujours armé », témoigne-t-il, citant la fameuse réplique d’Albert Einstein : « Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide. »”
Autre actualité de suite, l’affaire du lycée de Grasse. Nice Matin donne la parole à “ces "héros" dont on ne parle pas”, Les agents de cantine.
Le Républicain lorrain revient sur la “Profession proviseur : « Touche pas à mes élèves »”. “Un proviseur à Grasse a fait preuve d’un grand courage. En Lorraine, ses collègues assurent qu’ils auraient agi de même, parce que leur fonction « se doit de protéger ».”
Après Le rapport de la Cour des Comptes, l’Oeil du 20 heures de France2 a enquêté sur “SIHREN, le logiciel très coûteux de l’Education nationale”.
On en parlait abondamment hier, pour la première fois l’œuvre d’une écrivaine est au programme de littérature en terminale L.
Selon Le Figaro, madame de Lafayette serait “otage de la féminisation du bac”
“L’affaire - opportunément médiatisée - permet à la ministre de l’Éducation d’asseoir sa réputation de féministe à peu de frais. La Princesse de Montpensier, une nouvelle de Madame de La Fayette, sera au programme d’une épreuve de littérature de terminale littéraire en 2018 avec son pendant au cinéma, La Princesse de Montpensier de Bertrand Tavernier.” On est soulagés que l’œuvre d’un réalisateur homme sauve la pauvre écrivaine... et nous n’oublions pas de remercier la journaliste pour l’emploi fort à propos du mot "otage"...
Pour les anglophones, The Guardian s’en fait Le porte-parole outre-Manche : « Enfin ! Female author in French school exams for first time since 1990s »
Orientation et marronnier
En ces temps d’APB, LCI propose “L’UNIVERSITÉ À L’ESSAI" POUR AIDER LES FUTURS BACHELIERS
Les lycéens avaient jusqu’à aujourd’hui pour formuler leurs vœux d’inscription en université : l’admission post-bac. Pour les aider à bien choisir leur voie, certains établissements ouvrent leurs portes dans le cadre du programme "L’université à l’essai"”
Ah, la recherche du meilleur établissement... Erwin Canard s’y colle pour l’Etudiant après Sandrine Chesnel pour l’Express l’année dernière. Alors,“ Un bon lycée, c’est quoi ?”. “Milieu social des élèves, profession des parents, niveau scolaire à l’entrée en lycée… Ce sont les principaux critères pris en compte pour calculer les indicateurs de valeur ajoutée (IVAL), qui permettent de produire le palmarès des lycées de l’Etudiant, publié le 22 mars 2017. Les établissements au sommet du classement sont alors ceux qui parviennent à faire le mieux progresser et réussir leurs élèves par rapport à ces différents facteurs. Ils ne prennent donc pas seulement en compte le taux de réussite "brut" au baccalauréat, qui favorise les lycées "élitistes" qui recrutent et gardent essentiellement de très bons élèves.”. Il propose que les élèves et les enseignants s’emparent du hashtag #UnBonLycée.
Brèves
Le Figaro évoque ce programme de recherche insolite : « L’université d’Oxford crée un programme de recherche sur le cannabis
Ce programme disposera d’un budget de 10 millions de livres sterling (11,5 millions d’euros). Objectif : étudier les bénéfices du cannabis dans le traitement de la douleur et du cancer. »
Science et avenir se demande “Comment l’éducation modifie la structure du cerveau.
Le réseau de milliards de neurones présent dans notre cerveau n’est pas "immobile". Pendant l’enfance, certaines connexions, moins utilisées, disparaissent tandis que d’autres fibres se renforcent en s’entourant de gaine de myéline.” L’article précise que “La pollution nuit gravement au neuro développement”.
Ouest France mentionne “Un deuxième collège traditionaliste en projet à Sées”
“Un collège-lycée privé traditionaliste pour jeunes filles cherche à s’implanter à Sées (Orne). Vendredi 24 mars 2017, le Conseil départemental de l’Orne devrait lui louer le palais d’Argentré pour une durée de 30 ans.” Cet établissement sera hors contrat.
Le Parisien parle d’“ Une enseignante canadienne travaillant dans un village reculé de l’Arctique a remporté dimanche à Dubaï le prix du « meilleur professeur du monde », doté d’un million de dollars.”. “Maggie MacDonnell figurait parmi 10 finalistes sur 20.000 candidats de 179 pays, qui s’étaient présentés à un concours international ayant pour objectif de valoriser le métier d’enseignant.”
La Voix du Nord titre “L’académie de Lille est « singulière », c’est celle « où nous avons le plus investi »” d’après les propos de la ministre.
Emilie Kochert
/http%3A%2F%2Fwww.cahiers-pedagogiques.com%2FIMG%2Fjpg%2Flibrairie_logo.jpg)
Revue de presse du mardi 21 mars 2017
Aujourd'hui l'actualité éducative est pléthorique et variée. Cela peut être dû à la Semaine de la presse et des médias à l'école, principale information du jour. Mais les suites des actua...
http://www.cahiers-pedagogiques.com/Revue-de-presse-du-mardi-21-mars-2017
Education - Benoit Hamon répond à Emmanuel Macron... Des propositions mais pas de projet éducatif...

/https%3A%2F%2Fi2.wp.com%2Fwww.benoithamon2017.fr%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F03%2Fvignette-site-1-2.png%3Ffit%3D1800%2C945%26ssl%3D1)
Macron : des propositions, mais pas de projet éducatif
Emmanuel Macron a rendu publiques ses propositions sur l'éducation. Ses propositions reprennent sur quelques sujets celles formulées depuis plusieurs mois par Benoit Hamon, comme l'instauration ...
https://www.benoithamon2017.fr/2017/03/03/macron-des-propositions-mais-pas-de-projet-educatif/
Coup de coeur... Tennessee Williams...
L'étranger solitaire, effrayé par son ombre, inquiet du bruit de ses pas, avance parmi les rangs attentifs des divinités inférieures aux noirs desseins. Il regarde moins les maisons que les maisons ne le regardent. Il se sent épié par les rues ; les pancartes, les fenêtres, les portes ont des yeux qui l'observent et des bouches qui murmurent sur son passage. La tension monte en lui et le serre de liens de plus en plus étroits. Qu'un passant vienne à lui sourire, pour lui souhaiter la bienvenue, ce simple sourire déclenche en lui une explosion. La peau de son corps, rétrécie comme un gant de peau neuf, semble craquer sur les sutures, libérant son esprit qui s'en va danser par-dessus les toits et embrasser les pierres des murs.