2017... Année Rodin... Liens utiles...
Affiche présentant l'exposition du centenaire
Les liens ci-dessous sont empruntés à l'excellent site VousNousIls à consulter souvent.
Année Rodin
Le site Rodin100.org répertorie les manifestations qui vont avoir lieu partout en France à cette occasion;
une grande rétrospective au Grand Palais, qui exposera plus de 200 oeuvres du sculpteur, et à partir du 14 mars, une exposition Kiefer-Rodin au musée Rodin;
au musée de la Légion d’Honneur de San Francisco, une belle rétrospective proposant une cinquantaine d’oeuvres à découvrir;
L’étude d’Auguste Rodin est en effet inscrite, à partir de cette année scolaire et pour trois ans, au programme d’enseignement de spécialité d’arts plastiques au choix, en série littéraire;
un ouvrage, qui propose une analyse de l’œuvre d’Auguste Rodin en 5 axes : Formation et apogée, L’atelier, lieu de création et de transmission, Une conception expérimentale de la sculpture de Rodin, Une approche sociologique de l’art, Réception critique des monuments de Rodin;
Réseau Canopé propose un site dédié épatant;
Sandra Ktourza
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Pour le centenaire de Rodin, de nombreux événements vont avoir lieu partout en France, dont une grande expo au Grand Palais. Réseau Canopé propose un beau dossier pédagogique, en lien avec les...
http://www.vousnousils.fr/2017/01/24/2017-annee-rodin-598719
Coup de coeur... Haruki Murakami...
Une Phrase... Un Jour... Orthographe...
“L'orthographe est plus qu'une mauvaise habitude, c'est une vanité.”
Raymond Queneau
« Les jeunes et l’incitation à la haine sur Internet ; victimes, témoins, agresseurs ? »
programme-television.org
Ce colloque s'inscrit dans le cadre de l'appel à projet CNRS ATTENTAT - RECHERCHE. Il est organisé avec l'Unité de Recherche Migration et Société et l'ESPE de l'académie de Nice. Les financeurs sont par ordre d'importance :
- le CNRS
- le département recherche de l'ESPE de Nice
- l'Institut de Recherche pour le Développement
Dans un contexte national et international d’augmentation générale du racisme, de l’antisémitisme et de la xénophobie, la prévention et la lutte contre ces phénomènes sont des préoccupations majeures de nos sociétés (ECRI, 2012[1]). Les discours de haine et d’incitation à la haine à l’encontre des minorités ethniques, de religions spécifiques ou de populations vulnérables contribuent aux phénomènes de radicalisation et alimentent les extrémismes. Ils contribuent de même à accroître le sentiment d’insécurité et la violence. Ils altèrent le climat social et la vie politique de l’ensemble des citoyens.
La majorité des jeunes sont très actifs sur Internet où ils recherchent le contact continu avec le groupe de pairs (Boy, 2014 ; Mascheroni & Olafsson, 2014). Si dans les premières années du développement de la communication sur Internet, certains avaient été amenés à croire en l’émergence d’environnements virtuels libres de préjugés raciaux et racistes (Negroponte, 1995; Ess, 2001), la réalité est toute autre (Daniels, 2012). Comme souligné par Nakamura (2002), dès le début des années 2000, la question de la race reste présente sur internet, et avec elle celle du racisme. Selon le Comité des Ministres de l’Union Européenne dans sa Recommandation (97)20 sur le discours de haine, les discours haineux ou d’incitation à la haine peuvent avoir un impact plus important lorsqu’ils sont relayés par les médias. Grâce à Internet et aux médias sociaux, les groupes d’incitation à la haine tentent de recruter et promouvoir une identité collective, notamment auprès des jeunes générations (Perry & Olson, 2009).
En Europe, l’augmentation de la popularité des partis d’extrême droite a contribué à une plus grande inquiétude d’une partie de la population quant aux messages haineux publiés en ligne (Caiani & parenti, 2013 ; Lucassen & Lubbers, 2012). Cette inquiétude est aussi alimentée par les massacres et les actes terroristes qui sont pour la plupart revendiqués par des messages en ligne. C’est le cas en 2011, pour les attaques perpétrées en Norvège (Sandberg, 2013) et celles des écoles en Finlande en 2007 et 2008 (Oksanen, Nurmis, Vuori, & Räsänen, 2013), tout comme pour les attentats terroristes plus récents. La CNDH, dans son rapport de 2014, souligne que si l’augmentation moyenne des actes de racisme est faible, les discours de haine sur Internet se sont significativement développés. Tout comme se sont grandement développés les messages haineux visant l’identité singulière ou collective (INACH, 2012). Internet et l’accès continu aux réseaux sociaux et aux groupes de pairs, redessinent les modes de socialisation, la communication, les relations sociales et les processus de subjectivation contemporains mais aussi la définition des identités, fortement médiatisées. Si la mise en scène du soi en ligne peut contribuer à renforcer l’estime de soi et participer à la construction identitaire en permettant de jouer de ses différentes cartes identitaires avec un filet de sécurité (pseudonyme, distance) (Green & Haddon, 2009 ; Peter, Valkenburg, & Fluckiger, 2009), cela peut aussi être source de compétition entre les individus, dégénérer en rejet voire en « lynchage » en ligne.
Le cyberespace et plus particulièrement les réseaux sociaux sont considérés dans bien des discours publics et politiques comme le vecteur de propagande extrémiste voire de radicalisation des jeunes. Il est incontestable que les groupes radicaux et extrémistes ont recours au web afin de diffuser leurs messages et de tenter d’amener les jeunes à adhérer à leurs idéologies (Benschop, 2006 ; Knobel, 2012 ; Stevens & Neumann, 2009 ; Weimann, 2004).
Aucune recherche à ce jour ne démontre qu’Internet radicalise les jeunes, contrairement au discours public souvent véhiculé. Si la cyberhaine est un phénomène ancien, (on pensera à la création du site web de Stormfront en 1995) comme le montrent Wolf et Foxman (2012), ce n’est qu’avec les évènements terroristes récents que le rôle des médias sociaux en termes d’incitation à la haine est devenu une question vive.
Ce colloque international a pour objectif de présenter les travaux menés sur la question dans le cadre de l’appel à projets cnrs-attentats et de rassembler des chercheurs autour des questions de cyberhaine, d’incitation à la haine sur Internet, des identités religieuses des jeunes en ligne et hors ligne dans une approche multidisciplinaire de ces questions. Quelle est la prévalence de l’exposition des jeunes à des contenus haineux en ligne ? Quelle est leur implication en tant que victimes, auteurs ou témoins? Quelles sont les conséquences en termes socio-émotionnel et d’adhésion à des idées violentes voire extrêmes en ligne ? Comment s’articulent les identités individuelles, collectives, religieuses en ligne et hors ligne ?
Les présentations en Anglais ou en Français (service d’interprétariat) réuniront des chercheurs nord-américain et européens.
Ce colloque s’articulera autour de deux axes :
I. L’analyse politique de la haine sur Internet en lien avec la jeunesse
II. L’implication des jeunes dans la haine sur Internet
Comité Scientifique
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Comprendre la haine en ligne pour mieux la combattre
Sur Internet, les messages de haine à l'encontre des individus ont presque toujours recours aux stéréotypes racistes, xénophobes, antisémites ou sexistes visant des cibles collectives. Deux fa...
http://www.lalettredeleducation.fr/Comprendre-la-haine-en-ligne-pour.html
Limiter le nombre d'élèves par classe: une mesure à portée TRES limitée, voire contre-productive.
Limiter à 25 élèves par classe le nombre d’écoliers en CP, CE1, CE2.
Cette proposition flatte les oreilles des parents et des enseignants. Certainement pas celles des chercheurs.
La réduction généralisée du nombre d'élèves par classe est une mesure dont l'efficacité dépend de conditions particulières. Ces effets sont plus significatifs:
- dans les milieux défavorisés;
- pour les élèves du début du primaire;
- si le nombre d'élèves par classe est inférieur à 20.
Limiter à 25 ne sert à rien.
Il convient d'ajouter que les recherches américaines et canadiennes ont toutes démontré que la réduction d'élèves par classes n'a de réelle efficacité qu'à condition d'imposer une division par deux des effectifs.
Ce qui entraîne un coût non négligeable. Au Québec en 2000, l'application de cette mesure avait nécessité 300 millions de dollars de dépenses. (Conclusions du comité Champoux-Lesage).
Enfin, toutes les réductions d'effectifs n'ont de réelles chances d'entraîner une amélioration des résultats des élèves qu'à condition d'être accompagnées de changements radicaux dans les pédagogies utilisées.
On le voit, la simple annonce de "réduction d'effectifs à 25 dans le primaire" ne suffit pas à faire de cette proposition une réussite assurée.
Loin de là.
Christophe Chartreux
PS: Le service public d'aides aux devoirs est une FAUSSE bonne idée!
Elle ne fera que sanctuariser les inégalités.
Le programme de Manuel Valls - Un programme de gouvernement...

- Créer un revenu décent. La première étape - fusion des minima sociaux et ouverture aux 18-25 ans - représenterait un coût de 8 milliards d’euros.
- Augmenter la prime d’activité.
- Revaloriser les petites retraites et retraites agricoles.
- Favoriser le pouvoir d’achat, en rétablissant - mais en la plafonnant - une mesure adoptée par la droite puis supprimée par la gauche : la défiscalisation des heures supplémentaires.
Manuel Valls refuse en tout cas de verser à tous les Français une allocation, au « coût exorbitant », mais propose de leur garantir un minimum décent d’environ 800 euros par mois : ceux dont les revenus n’atteindraient pas cette somme recevraient une allocation, assez proche dans son esprit de l’actuel RSA.
- Poursuivre la baisse des prélèvements obligatoires pour les classes moyennes et modestes.
- Défiscaliser les heures supplémentaires.
- Rétablir l’avantage fiscal (la demi-part) dont bénéficiaient les veuves et veufs ayant élevé des enfants, qu’avait supprimé la droite et que la gauche n’avait pas rétabli.
- Stabilité fiscale pour les entreprises avec les orientations définies pour cinq ans au début du quinquennat.
- Réserver aux PME une part significative de la commande publique.
- Accompagnement de tous les créateurs d’entreprise qui le souhaitent et facilitation de l’accès au crédit.
- Créer 1 000 postes de policiers et de gendarmes par an et, sur la totalité du quinquennat, 1 000 postes de magistrats, 1 500 de greffiers et créer 10 000 places de prison.
- Porter le budget de la Défense à 2 % du PIB en 2025
- Obtenir des partenaires de la France une réforme du pacte de stabilité « pour garantir de manière durable une application intelligente » des règles budgétaires. Manuel Valls veut « maintenir le déficit juste sous la barre des 3 % » mais « sans chercher à le réduire davantage ».
- Conférence de « refondation » de l’Europe pour affirmer le modèle social, maîtriser les frontières, taxer « lourdement » les produits entrant sur le marché intérieur ne respectant pas les règles sociales et environnementales. Smic européen.
- Contrôle des investissements étrangers en Europe dans les secteurs stratégiques.
- Pause dans l’élargissement de l’UE, la Turquie n’a « pas vocation » à l’intégrer.
- Service civique obligatoire de six mois pour les jeunes.
- Intégrer dans la Constitution une charte de la laïcité « qui lutte contre tous les communautarismes sans jamais pointer du doigt tel ou tel pour sa croyance ».
- Assumer et poursuivre la politique migratoire menée à Matignon, appelant à « ne pas confondre droit d’asile et migration ».
- Pas de légalisation du cannabis. Pour Valls, cette mesure ne peut en rien faire reculer les trafics.
- Créer un service public d’accueil de la petite enfance.
- Revaloriser le salaire des enseignants.
- Un milliard d’euros par an pour les universités.
- Ouvrir aux indépendants, entrepreneurs et artisans les mêmes droits que les salariés.
- Renforcer les syndicats en généralisant le chèque syndical.
Manuel Valls continue à défendre comme « une avancée » la loi Travail qu’il avait fait voter aux forceps lorsqu’il était Premier ministre.
- Plan pour la médecine de proximité, lutte contre les dépassements d’honoraires, doubler le budget de la prévention.
- Rembourser à 100 % un ensemble de soins primaires
- Supprimer le numerus clausus dans les études médicales.
- Tourner les soutiens publics vers les technologies bas carbone et l’économie verte, programme de rénovation thermique des bâtiments, développement des énergies renouvelables.
Manuel Valls veut « accélérer la convergence des fiscalités essence et diesel », mais réaffirme que la part du nucléaire dans la production d’électricité passera de 75 % à 50 % d’ici 2025. Et face à Donald Trump, il veut instaurer une taxe carbone sur les produits américains si l’accord de la COP 21 était remis en cause.
- Réduire le nombre des députés et sénateurs, limiter le nombre de mandats à trois successifs et le cumul des fonctions.
- Limiter le 49-3 aux lois budgétaires.
- Nouveaux transferts de responsabilités aux collectivités.
- Pas de changement de régime politique (pas de VIe République, donc), mais instauration d’une consultation citoyenne avant le vote des lois.
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Primaire à gauche. Quel est le programme de Manuel Valls ?
Economie, Europe, contraintes budgétaires européennes, laïcité et droit d'asile, institutions, impôts, écologie... Voici les grandes lignes du programme de Manuel Valls, arrivé deuxième au ...